ANIMIS OPIBUSQUE PARATI - PRÉPARÉ EN ESPRIT ET EN RESSOURCES -
Fiche d'identité:
Informations Générales
Noms :
Mayhew.
Prénoms :
Greyson, Jesse.
Date de Naissance :
16 août 1992.
Age :
22 ans.
Lieu de Naissance :
Columbia, Caroline du Sud, Etats-Unis.
Lieu de Résidence :
Los Angeles, Californie, Etats-Unis.
Métier/Études :
Voleur/revendeur de voitures de luxe, ça compte comme métier ça ?
Orientation Sexuelle :
Hétérosexuel.
Statut Civil :
Célibataire.
Dossier Criminel
Arrestations ? :
Y'en a eu quelques unes. La première pour un petit vol à l'étalage quand j'avais dix-sept ans (je volais des capotes, s'ils savaient ce que j'allais voler comme autre pactole plus tard), une autre pour une bagarre, une autre pour possession de stupéfiant (de l'herbe: blâmez moi), et une autre pour ivresse sur la voie publique (j'irais tout droit en enfer, n'est-ce pas ?).
Condamnation ? :
Travaux d’intérêts généraux pendant 100 jours pour la fois où je me suis fait prendre avec ma beuh.
Drogues ? :
Occasionnellement... Quand il y a quelque chose à fêter ou que je dois me changer les idées. Je préfère généralement me concentrer sur mon travail.
Alcools ? :
Je ne dis jamais non à un bon verre de Gin bien sec.
Je veux être membre des :
Les Jorks
Caractère et Caractéristiques:
Caractère
• Il faut dire que Greyson a plus de défauts que de qualités... Il est nerveux, intrépide, froid, manipulateur, impulsif et renfermé sur lui même. Pas étonnant pourquoi Monsieur a choisi la voie de la criminalité. Très peu de personnes pourraient le supporter au quotidien, cela s'est déjà avéré. C'est pourquoi il a tendance à avancer seul plutôt que de s'attacher à des gens susceptibles de l'abandonner. Sous sa carapace de grand méchant garçon se cachent tout de même quelques qualités: il est par exemple généreux, drôle (même s'il a tendance à tout tourner à la dérision et au sarcasme), serviable, dévoué, ambitieux et malin. Un beau melting-pot d'un gars difficile à suivre.
Caractéristiques
• Il fume des cigarettes partout et tout le temps. Le café est également sa religion, ça l'aide à rester debout les nuits de "pillage automobile" comme il aime appeler ça. • Il a toujours l'air fatigué: normal, il l'est. Sa mauvaise hygiène de vie n'aide en rien dans cela. Il ne prend pas particulièrement soin de lui, juste le nécessaire, mais bizarrement, même si son style vestimentaire n'est même pas un style, mais plutôt une association rapide de vêtements deux minutes après avoir quitté le lit, il lui colle plutôt bien sans faire négligé. • Il aurait bien voulu se faire des tatouages et des piercings pour avoir la tête de l'emploi, mais il a trop peur de l'engagement que ça représente (ah, sa fameuse peur de l'engagement...)
Mon histoire
Autrefois considéré comme un enfant à problèmes, j'étais maintenant un ado à problèmes. Je suis né dans une famille de dégénérés – comme c'est étonnant – composé d'un père alcoolique/drogué régulier/au chômage les 385 jours de l'année et d'une mère qui a sombré avec lui, bien que plus soumise que le reste. J'ai vécu 5 ans avec eux jusqu'à ce que les voisins appellent les services sociaux, plus les flics, suite aux bruits de vaisselle qui casse et de cris répétés qui émanaient de là. Avec le recul, j'imagine totalement ce que nos paisibles petits vieux de voisins devaient se dire entre eux... Non mais c'est pas possible Suzanne tu imagines, drogués, alcooliques, comment est-ce qu'on peut élever un enfant dans ces conditions ? Il faut vraiment faire quelque chose, c'est affolant, ce petit grandit dans un taudis, qu'est-ce qu'il va devenir ? Et puis la femme, quelle honte, elle est du quartier pourtant hein, mais depuis qu'elle a connu ce junkie elle s'est métamorphosée, oh ça oui, elle avait une belle vie devant elle pourtant, les parents très portés sur la religion, c'était même le pasteur de la ville, mais voilà où elle en est rendue. Pauvre petit. Faut vraiment le sortir de là Suzanne.
Je fus donc recueilli à l'âge de 5 ans par ma tante et mon oncle – la sœur à ma mère- et quel soulagement me direz vous ! Mais en fait, pas du tout. C'était pas pire – rien ne pouvait être pire – mais quand on commence à rentrer dans l'adolescence, c'est un enfer. Ma tante avait bel et bien suivi le chemin de Dieu que mon grand-père lui avait montré, contrairement à ma mère qui a pêché devant le Seigneur et ma tante n'hésitait pas une seconde à la rabaisser. Grandir dans la religion catho ne m'a absolument pas converti, au contraire, plus je passais de dimanche à la messe plus je devenais sceptique : pourquoi Dieu avait-il crée le mal, pourquoi ne m'a t-il pas donné une famille qui puisse m'élever dans de bonnes conditions, pourquoi les autres avaient tout ça et pas moi ? Sans trouver de réponse à ces questions, j'envoyai chier le Seigneur et boycotta tout ce qui avait un rapport avec lui.
Ado, j'ai commencé à vouloir sortir du cadre que m'avait imposé mon oncle, ma tante et le Tout Puissant. Je voulais aller dans la direction totalement opposée. Je voulais vivre au lieu de consacrer ma vie à Dieu comme ma famille d'adoption l'avait fait, concept qui m'horripilait. Moi qui était pourtant propret et sage, je me mis à traîner avec les mauvaises fréquentations dès l'entrée au lycée. J'ai changé de style vestimentaire – plus rebelle -, j'ai dépassé le couvre feu – pêché -, j'ai ramené des filles – sans les marier ?! - . Je n'en avais plus rien à faire des remontrances qu'on me faisait, ce que soit mes tuteurs ou mes profs. « Greyson, tu es doué, tu as du potentiel, je le sais, mais ton attitude revêche ne t’amènera à rien, sauf si tu veux traîner dans les bas quartiers toute ta vie » « Greyson, écoute la voix du Seigneur, elle te guidera vers le bon chemin, ce n'est pas comme cela que nous t'avons élevé... » . C'est dingue, j'avais beau maudir mes parents biologique pour ce qu'ils étaient et ce qu'ils m'avaient fait vivre, mais je suivais leur même chemin. J'en étais conscient et je m'en foutais en m'allumant mes premières clopes, mes premiers joints, mes premières bières. Briser les conventions, braver l'interdit, tout ça m'excitait comme jamais. L'adrénaline que cela me procurait n'était comparable à rien d'autre. Le pied. Jusqu'au jour – j'avais 17 ans – où je me suis mangé les conséquences de mes actes en pleine face.
« Greyson, on t'a prévenu maintes et maintes fois, j'ai prié pour que tu deviennes quelqu'un de respectable, mais c'est impossible pour nous que tu restes sous notre toit. Tu désobéis à nos règles, tu refuse d'aller à la messe, tu fumes, tu bois, tu te drogues... Ça doit être dans tes gênes... Je doute que nous puissions encore t'aider à suivre le bon chemin... - Comment ça dans mes gênes ? Vous êtes en train de dire que vous me virez de la maison ? - C'est ça Greyson, nous n'avons pas le choix... Nous t'avions prévenu, que le Seigneur nous garde et comprenne cet acte. - Vous êtes des cathos, et vous me virez de la maison ? Dieu est pas censé pardonner, aider son prochain, l'aimer comme si c'était soi même ? C'est une blague ? - Non Greyson, on... - Vous savez quoi ? Allez vous faire foutre, vous et votre Dieu à la con, qu'il vous préserve surtout de votre connerie, je me démerderai bien tout seul sans votre putain d'aide. »
Me voilà donc à 17 ans, seul. J'ai eu du mal à me faire héberger – j'en étais devenue une, de mauvaise fréquentation – et pour ainsi dire, j'ai parfois du dormir dehors. Jusqu'à ce que je rencontre un type pas très farouche quand je cherchais de l'herbe à acheter. « Tu m'as l'air malin toi hein ? T'as quel âge, 20 ans, même pas ? T'as l'air de pas avoir dormi dans un lit depuis un bon bout de temps... Ça te dirait d'être logé, nourri, et de gagner un peu de fric ? » Au début j'étais genre : putain mais sur qui je suis tombé, puis mon goût du risque et du danger pur et dur me poussèrent à prendre une bière avec ce type, avec qui je conclus un marché : il me blanchissait chez lui jusqu'à ce que je me fasse assez de fric et je volais des voitures de luxe (Lamborghini, Bentley, Ferrari...) que je lui redonnais. Je touchais 25% du pactole. Je ne me suis même pas remis en question – la criminalité, le danger, tout ça – et j'avais même hâte de commencer cette nouvelle expérience. Braquer des voitures, ça j'avais déjà fait – Tata ne me laissait bien évidemment pas les clés de la sienne, fallait que j'improvise -. Le type m'a montré les rudiments du métier – l'électronique, la précision et la rapidité du geste, la discrétion – puis j'étais sur les rails. La nuit, je faisais des planques devant chez les bourges, pour m'introduire chez eux, au mieux je trafiquais l'interphone, au pire je menais en bourrique le vigile. J'aimais ce que je faisais, j'étais doué pour ça, le fait que c'était illégal était encore plus jouissif pour moi, et j'étais payé, quoi de mieux ?
Pour les vols de deux voitures en simultané, j'étais accompagné par des types comme moi, que notre boss avait récupéré à la dérive et formé comme il fallait. Ce soir là on devait voler le garage d'un ambassadeur composé d'une Aston Martin et d'une Bugatti. Imaginez qu'en une fraction de seconde, tout devait être volé. Un peu nerveux ce soir là, mon partenaire m'a rassuré, et confiants, on est parti voler ce fils de pute. Seulement, j'ai trébuché sur une des trois voitures, ce qui a déclenché l'alarme. Pris de panique, plus je voulais faire vite, plus je réussissais à rien. Mon partenaire me foutait la pression « Mais allez grouille toi putain, qu'est-ce que tu fous enfoiré ». Le boss avait enquêté sur l'ambassadeur, il devait être en voyage d'affaires. Je me revois en train d'essayer de connecter les deux fils, l'alarme vrombissant dans l'allée sombre, assis à l'avant de la Bugatti, mon pote dans l'autre bagnole, quand l'ambassadeur de mes deux est sorti avec son fusil et a commencé à tirer sur tout ce qui bouge.
J'ai pas réfléchi, j'ai lâché l'affaire, et je me suis barré. J'ai couru, détalé, j'étais tellement essoufflé que je croyais ne jamais reprendre mon souffle à nouveau. Seulement, dans ma course effrénée vers la liberté, j'entends le dernier cri de douleur de mon co-équipier. « Headshot dans la tête de ton pote mon gars, tu vas aussi y passer enfoiré ! » je pus entendre en me sauvant. Il était mort. Il l'avait tué. J'avais aucune idée de comment mon pote a pu se laisser prendre dans ce merdier, étant donné que j'avais détalé comme une pédale. Mais c'était la règle de notre boss : si on se fait prendre, tout lâcher sur le champ. Une fois à l'abri, je me laissa glisser le long d'un mur, la tête dans mes mains, les larmes coulant sur mes joues. Ça aurait pu être moi qui se mange une balle en pleine tête. J'aurais pu me faire prendre de mille façons possible, et ce depuis longtemps. Je prenais enfin conscience des dangers, du remord. J'aurais pu lui dire qu'on devait déguerpir dès que l'alarme avait sonné, j'aurais pu ne pas trébucher sur cette putain de caisse. Mais non, je ne l'ai pas fait.
C'est à ce moment que j'eus une vision de lucidité quant à ma vie de criminel. Je conclus que j'étais pas fait pour ça, la mort de mon collègue sur la conscience me laissa sombrer vers de sales semaines à me murer dans le silence, effrayé. Ça ne m'était jamais arrivé. L'éventualité même de ce qui c'était passé ne m'était jamais venu à l'esprit, du moins, pas à ce point. L'affaire passa à la télé, dans les journaux, seulement ils ne sont jamais remontés jusqu'à moi, on prenait toujours les précautions nécessaires pour cela. J'ai remis, à ce moment là, toute ma vie en question, et je pris la décision drastique de m'éloigner de ce monde. Je n'étais pas si bête après tout, je pouvais gagner ma vie en tant qu'honnête homme, avec en réserve le fric que j'avais amassé de mes activités criminelles. Je m'inscris donc à l'université, en espérant changer d'univers et donc de raisonnement sur la vie. Seulement, après un semestre là bas, je réalisa que rien ne me tombait tout cuit dans le bec comme je l'avais imaginé. Il fallait bosser, et dur, bien plus que je ne pouvais l'imaginer. Je ne m'étais pas mis à fond dans mes études depuis déjà belle lurette, j'avais perdu le fil conducteur. Quand je bossais des heures et des heures sur une dissert, je me récoltais un beau D. Je ne suis pas le genre de type qui persévère dans ce domaine, je préfère la facilité. Je me torturais l'esprit quant à mon avenir. L'ange de ma conscience me disait de rester, persévérer, afin d'obtenir quelque chose pour lequel je serait fier – et légal - . Puis le démon me disait de revenir à ce que je savais faire de mieux, le vol de voiture, la criminalité, le danger perpétuel. La pensée néfaste de la mort de mon co-équipier toujours dans la tête me poussa tout de même continuer tout le premier semestre de mon année. Mes résultats de ce dernier furent médiocre, comme prévu. Puis après avoir abusé d'un tas de substances pour oublier que ma vie n'allait pas s'éclaircir de sitôt, j’appelai mon ancien boss et lui proposa un rendez-vous. Il m'expliqua qu'il avait des collègues qui avaient besoin de monde, à Los Angeles. Il me dit de bien y réfléchir, qu'il n'y avait pas tout le monde qui était fait pour ce monde de malfrats. Mais sans réfléchir, le démon prédominant de ma conscience lui dit que je n'avais pas besoin de réfléchir, et que j'acceptais le poste. Pour le meilleur, comme pour le pire.
A propos de moi:
Hello tout le monde ! Je m'appelle Alison, mais les gens me surnomment Ali. J'ai 20 ans. J'ai connu le forum grâce à un laideron (Caleb) et je le trouve à mon goût . Je serai présent(e) deux à trois jours par semaine. Sachez que j'ai déjà un ou plusieurs doubles comptes, qui sont aucun, laissez moi arriver ! En ce qui concerne le code, le voici : Disorder de Joy Division et bordeaux. Avant de conclure, je voudrais rajouter que je vous aime déjà d'amur
Code:
Ϟ <em>Greyson J. Mayhew</em> as <strong>Logan Lerman</strong>
Dernière édition par Greyson J. Mayhew le Jeu 27 Mar - 12:08, édité 11 fois
Sujet: Re: Grey • Marche ou crève Mar 18 Fév - 18:34
Hum, que de mystère !!! Tu piques ma curiosité là, qui es-tu donc ?
Bienvenue
Si tu as des questions, n'hésite pas, le staff est là
Invité Invité
Sujet: Re: Grey • Marche ou crève Mar 18 Fév - 19:26
Oo !! Et bien, c'est une présentation de soi-même originale ... Qui es-tu ? Qui est-ce que tu connais ? Je veux tout savoir !
Bienvenue en tout cas et bon courage pour ta fiche ^^ ! Si tu as des questions, n'hésite pas !
Invité Invité
Sujet: Re: Grey • Marche ou crève Mer 19 Fév - 2:15
Bienvenue ^^ Excellent choix d'avatar ^^
Invité Invité
Sujet: Re: Grey • Marche ou crève Mer 19 Fév - 4:44
Bienvenue parmi nous ^^ Et bonne chance !
Invité Invité
Sujet: Re: Grey • Marche ou crève Mer 19 Fév - 14:11
Bon allez, j'ai édité et j'ai renseigné de vraies infos à mon sujet, de toute façon je pense que l'avatar aurait pu me griller rapidement (si c'est pas déjà fait ) SInon, merci les enfants, vous êtes des amours
Invité Invité
Sujet: Re: Grey • Marche ou crève Mer 19 Fév - 16:54
HAHAHA T'AS PAS GARDE LE SECRET LONGTEMPS SALE BETE *regardquifaitpeur* ! Pas drôle x) !
Bienvenue ma siiiiiiiiiister !! C'est toi le laideron !!!
Sujet: Re: Grey • Marche ou crève Jeu 20 Fév - 13:02
Ahhhhh Astooooooor (les autres vont peut-être nous prendre pour des fous à s'appeler de cette manière ) Caleb t'es nul!!! Merci encore
Invité Invité
Sujet: Re: Grey • Marche ou crève Jeu 20 Fév - 17:01
J'ai beau savoir pourquoi vous vous donnez ces noms là, je vous prends quand même pour des fous. Bienvenu sur le forum et bon courage pour la fin de ta fiche.
Invité Invité
Sujet: Re: Grey • Marche ou crève Ven 21 Fév - 3:41
bienvenu à toi. Bon courage pour ta fiche et surtout amuse toi bien
Invité Invité
Sujet: Re: Grey • Marche ou crève Dim 23 Fév - 7:55
Nous t'invitons aussi à créer un compte FB pour ton personnage. C'est un bon moyen de se créer plus facilement des liens et pouvoir discuter avec les autres membres du forum ! Une fois que ce sera fait, tu n'auras qu'à envoyer un mp à l'un des admin et il t'ajoutera à notre groupe .
Si tu as des questions ou des petits soucis, tout le staff est à ta disposition.