Sujet: Encore vous très chère [Mandy] Lun 3 Mar - 10:54
*Encore vous très chère*
Y a pas un homme qui soit né pour ça
Vingt un ans... Vingt et unes longues années que je vivais la même routine dans la prison de Los Angeles. Pourquoi la prison? Parce qu'officiellement, j'avais tué vingt et unes femmes de sang froid. Oh tiens, le même nombre de femmes tuées que d'années de prison. Coïncidences quand tu nous tiens. Et j'ai bien dit officiellement. Car en faite, le nombre de femmes que j'ai torturées et tuées est bien plus important que cela. Mais jamais la police n'a pu prouver que j'avais tué plus de femmes que le nombre de corps qu'ils avaient retrouvés. Ils savaient qu'il y en avait plus mais ils avaient été impossibles de le prouver. Prenons un exemple: les prostituées qui n'avaient aucunes attaches et aucun contact en ville n'étaient que très rarement portées disparues. Et c'était sur elles que j'avais commencé à faire mes armes de futur tueur en série. Des meurtres simple, sans bavures. Enfin, ils avaient quasiment tous été ainsi. Sauf un, ma dernière victime: ma propre femme. Oh, ce n'était pas moi qui l'avait tué, je m'étais servit d'une autre personne pour porter le coup fatale à cette petite garce qui avait compris ce que j'étais réellement. Je m'étais servi de mon propre enfant pour cela, ma petite princesse: Yelena. Et elle avait osé me vendre au FBI... Pour finalement les rejoindre. Parce qu'elle était devenue agent du FBI, d'abord à Washington puis ici, à Los Angeles. Comment je le savais? Tout simplement parce que j'avais des contacts à l'extérieur qui me tenaient au courant des faits et gestes de ma petite fille.
En tout cas, aujourd'hui, un fait venait briser ma routine. C'était les jours de parloir aujourd'hui. Ils avaient lieux deux à trois fois par semaine pour les détenus qui ne faisaient aucune vague. Et j'étais de ceux là. En même temps, je savais que malgré une condamnation à vie, je pouvais toujours bénéficier de privilège au sein de la prison. Comme des visites au parloir. Mais qui voudrait rendre visite à un détenu tueur en série de femmes? Les journalistes. Et puis, cela faisait maintenant vingt et un ans que ma vengeance murissait dans mon esprit et le grand jour arrivait: celui où j'allais m'évader de cet endroit pour retrouver ma fille et la faire payer. D'ailleurs, j'avais rendez vous avec l'instrument de ma libération. Quand on m'annonça que j'avais quelqu'un au parloir, j'abandonnais la cellule que je partageais avec un dealer pour rejoindre le parloir où la journaliste m'attendait. Je savais qu'elle était obligé de m'aider en échange de je ne savais trop quoi. Mais je m'en fichais. Tout ce que je voulais, c'était sortir et me venger. Une fois dans la pièce, je me trouvais face à une jeune femme blonde aux yeux bleus. Loin du type de mes victimes. Ces dernières étaient toutes brunes aux yeux marrons, plutôt du type de la meilleure amie de ma fille. Et oui, je savais tout d'elle: qui elle fréquentait, où elle vivait... D'ailleurs, j'avais été très étonné d'apprendre qu'elle avait rencontré le fils d'une de mes victimes. Mais cette situation m'amusait grandement. M'asseyant sur le siège, je regardais la jeune femme.
"Bonjour mademoiselle Fitzgerald, vous êtes toute en beauté aujourd'hui. Alors, que voulez vous?"
Sujet: Re: Encore vous très chère [Mandy] Mar 4 Mar - 11:48
*Encore vous très chère*
Y a pas un homme qui soit né pour ça
Et moi qui pensais que ma vie était assez mouvementé comme ça, entre le fait que cette femme avait fait son apparition, elle ressemblait tellement à Eka, ça ne pouvait pas être une simple coïncidence et j'allais tout faire pour avoir des réponses même si cela allait me prendre du temps, enfin le plus vite sera le mieux. Mais voilà si c'était vraiment Ekaterina j'allais devoir trouver une raison sur le pourquoi elle avait changé d'identité et surtout pourquoi ne nous reconnaissait elle pas. Enfin beaucoup de questions que j'avais envie de lui poser mais impossible de le lui demander tant que je n'avais pas les preuves sous la main. Donc ça c'était mon souci numéro un qui était tout de même très important, mais j'en avais un nouveau. Un soir alors que je sortais du travail, je retrouvais une lettre sur mon par brise, tout de suite ça m'a inquiété en me demandant ce que c'était et en voyant les photos de Joy quand elle sortait de l'école ou encore quand elle jouait au parc. Tout de suite mon coeur manquait plusieurs battements, je paniquais en me demandant ce que tout cela voulait dire. Puis un simple mot "bientôt j'aurais besoin de vous..." , je comprenais tout de suite que c'était une menace et bien en dessous en petit "chut ça reste entre nous". Je tremblais de partout, pas Joy, je ne voulais pas qu'il lui arrive quelque chose. Je rentrais chez moi en gardant tout pour moi, je savais que si je prévenais quelqu'un cette personne qui me menaçait allait tuer Joy ou encore enlever Joy.
Les jours passaient et à chaque fois je recevais une lettre toujours sur ma voiture avec des informations en plus. Des photos de ce tueur en série que je connaissais trop bien puisque j'avais fait ma première enquête sur lui lors de mes débuts en journalistes. Je ne comprenais pas pourquoi on m'envoyait ça surtout que je me demandais ce que j'allais bien pouvoir faire de ça. Je ne comprenais rien jusqu'à avoir des informations sur la prison, des plans et là je commençais à tout remettre en ordre, j'allais devoir le faire s'évader de prison. Je ne pouvais pas faire ça. Je tenais à ma place en tant que journaliste et surtout je ne voulais pas finir en prison. Je ne comprenais rien, mais voilà si je ne faisais rien, cette personne qui me menaçait allait tuer ma fille et en plus il menaçait Alexandre en même temps. Donc le lendemain je demandais à prendre rendez-vous pour la prison, je prétextais que j'allais faire un article sur lui. Mais une fois en tête à tête je finissais par lui faire comprendre que j'allais l'aider. Je n'aimais pas aller le voir, il avait tout de même tué des femmes et avoue il me faisait peur. Aujourd'hui je venais lui rendre encore visite, je n'étais pas du tout à ma place Je soupirais en le voyant me rejoindre. Je croisais les bras alors que ça avait l'air de l'amuser de me voir.
-Bonjours. Je n'ai pas besoin de vos compliments, je ne suis pas votre style.
Je passais ma main sur mon visage, je n'aimais vraiment pas me retrouver ici, je préférerais largement être avec Joy ou encore Alexandre, mais certainement pas dans cet endroit horrible.
Sujet: Re: Encore vous très chère [Mandy] Sam 8 Mar - 13:37
*Encore vous très chère*
Y a pas un homme qui soit né pour ça
Cela se voyait que mademoiselle Fitzgerald n'aimait pas me rendre visite. Mais de cela, je m'en fichais comme de mon premier biberon. Je savais qu'elle était obligée de m'aider, elle ne s'était pas gênée pour me le faire savoir. Mais de cela aussi je m'en fichais. Tout ce qui comptait pour moi, c'était ma libération et ma vengeance. On menaçait de s'en prendre à sa famille... Et cela me plaisait beaucoup. N'oubliez pas que j'étais un psychopathe alors peu importait ce que j'étais obligé de faire pour me libérer, je le ferais. Je n'avais aucune pitié et vous le découvrirez vite si jamais vous venez à apprendre ce que j'avais prévu de faire à ma propre enfant. Après tout, c'était son existence qui avait déclenché ma folie meurtrière. Beaucoup se perdait en conjoncture pour savoir ce qui avait déclenché les premiers meurtres mais moi, je pouvais vous le dire. Je n'avais pas supporté d'apprendre que j'allais être père et en tuant des femmes brunes, je tuais ma femme et la chose qu'elle portait en elle. Malheureusement, je ne m'en étais jamais pris à ma femme alors qu'elle était enceinte... Cela m'aurait peut être empêché d'aller en prison parce que c'était ce petit grain de sable, cette petite saleté qui m'avait envoyé en prison il y a vingt et unes années. Mais revenons en à mademoiselle Fitzgerald ici présente. Elle croisa les bras avant de me demander d'arrêter les compliments car je n'étais pas son genre de femme. Qu'en savait elle?
"Oh, vous savez... Cela peut tout à fait changer... Après tout, ma fille est comme vous et je compte bien lui rendre une petite visite un jour..."
Je me fichais pas mal que les gardiens m'écoutent. Pour eux, il était tout bonnement impossible qu'un détenu ne puisse s'échapper de cette prison. Et pourtant, j'allais le faire. J'allais m'évader et reprendre ce que j'avais arrêter il y a vingt et un ans. En commençant par ma propre fille. Je me fichais qu'elle ne soit pas brune comme sa mère. Je me fichais qu'elle soit agent du FBI. Je voulais ma vengeance et je l'aurais. Souriant à nouveau, je me penchais légèrement sur la table.
Sujet: Re: Encore vous très chère [Mandy] Lun 10 Mar - 6:57
*Encore vous très chère*
Y a pas un homme qui soit né pour ça
J'étais tellement mal à l'aise ici, pas du tout à ma place. Enfin je suis déjà venu pour demander à interroger un prisonnier pour un article mais ensuite je repartais sans me poser de questions. Alors que là je venais ici pour aider un prisonnier à sortir. On peut se demander comment une femme comme moi peut arriver à faire ça, alors qu'elle a tout dans sa vie, enfin, mari, situation stable. Bah on finit par faire ça quand la vie de ceux qu'on aime commence à être menacé. Je n'ai pas le choix, je dois aider cet homme même s'il me dégoute, c'est un tueur tout de même, tuer des femmes, comment on peut arriver à faire ça. Heureusement je n'étais pas du tout son type de femme, enfin de celles qui tuaient, ce qui me rassurait un tout petit peu. Je me retrouvais donc encore une fois devant lui ne sachant pas du tout quoi faire, ça allait être dure de le sortir d'ici, mais heureusement j'avais commencé à faire des recherches sur les gardes, leur position de surveillance, sur quoi était relié les caméras, car oui je n'avais pas du tout envie qu'on voit mon visage. Finir en prison n'était pas du tout dans mes plans. Je regardais autour de moi, il n'y avait pas grand monde aujourd'hui et les gardiens étaient un peu plus loin, on allait pouvoir parler tranquillement, enfin je faisais tout de même attention à ce que je disais. Je savais qu'une autre personne me suivait pour me menacer encore plus ensuite. Je me demandais ce que j'allais devoir faire une fois qu'il était en dehors de la prison, j'espérais qu'il n'allait pas me demander autre chose. J'avais un mauvais pressentiment, cette histoire n'allait pas se finir aussi facilement. En tout ces compliments ne m'aliénant pas du tout, par contre sa menace ensuite oui. -Je ne veux même pas savoir ce que vous allez faire après. Je ne savais pas du tout ce qui s'tait passé avec sa fille, enfin si j'avais lu un rapport qui disait que c'était elle qui l'avait balancé à la police, mais des années étaient passées, elle était jeune à cette époque et savoir que son père est un tueur peut traumatiser. Enfin maintenant elle est dans la police, je ne sais pas si c'était une bonne idée, surtout que j'avais cette femme dans le collimateur. J'avais la preuve qu'elle était toujours en vie et que c'était bien cette Yelena. Je passais ma main sur mon visage toujours un peu stressé, je n'arrivais vraiment pas à paraître normal quand il me parlait de cette évasion. -Vous êtes si impatient... Une semaine. Je reviendrais ce jour-là, j'ai encore des questions à vous poser. J'essayais de faire passer ça pour une enquête pour un article, je flippais à chaque seconde que je passais ici. Je me penchais pour le regarder avec un peu plus de sérieux et je lui disais doucement. -Après vous m'oubliez....
Sujet: Re: Encore vous très chère [Mandy] Mer 2 Avr - 11:47
*Encore vous très chère*
Y a pas un homme qui soit né pour ça
Alors comme ça, elle se fichait pas mal de ce que j'allais faire une fois sortie? C'était bien égoïste comme raisonnement. Je savais qu'elle n'était pas très amie avec Yelena mais de là à se fichtre de ce que je pourrais faire à une personne qu'elle connaissait... Il y avait une grande marge. Mais bon passons. Toujours est il qu'elle ne comprenait rien tiens... Moi impatient? Bien sur. Vingt et un ans que j'attendais dans cette prison et l'on m'offrait enfin la possibilité de sortir de là? Alors bien sur que j'étais impatient de sortir. Et la semaine qui allait venir allait être longue, bien trop longue mais pas assez pour que je concocte mon plan pour attirer ma fille dans mes filets. Car à peine sorti, j'allais directement m'attaquer à elle. Je m'en fichais qu'elle soit au boulot, avec des amis, avec un potentiel petit ami... Je la kidnapperai et lui ferait regretter d'être née.
"A ma place, après des années passées dans un endroit aussi sordide, vous seriez également impatiente de sortir. Et de régler des affaires de familles. Vous aussi vous auriez envie de tuer la personne qui vous a fait enfermer."
C'était dit. Je comptais bel et bien tuer ma propre fille pour ce qu'elle avait fait alors qu'elle avait cinq ans. Mais je ne la tuerais pas tout de suite. Je la ferais d'abord souffrir jusqu'à ce qu'elle me supplie elle même de la tuer. Et je comptais bien lui dire non d'abord pour la faire encore plus souffrir. Et peut être m'en prendre à des personnes qu'elle aimait. Oh, cela me ferait plaisir de détruire les vies des personnes qui tenaient un tant soit peu à elle. Mais pour l'instant, je ne savais rien des personnes que ma fille fréquentait en dehors de ses collègues de travail. Mais Fitzgerald pouvait tout à fait me tenir au courant de tout cela.
"Je ne vous oublie qu'à une condition... Parlez moi des amis de ma Yelena, ceux qu'elle voit en dehors de ses heures de travail. Ses collègues ne m'intéressent pas."
Sujet: Re: Encore vous très chère [Mandy] Ven 4 Avr - 13:20
*Encore vous très chère*
Y a pas un homme qui soit né pour ça
Quand on entendait ce que je disais, on pouvait croire que j'étais sans coeur, surtout quand je savais qu'il allait s'en prendre à sa fille. Mais voilà, moi j'avais ma famille, mes soucis ont réglé, après c'était sa vie, je n'avais pas envie de m'occuper de lui ou encore de ce qu'il allait faire. Je ne voulais qu'une seule chose, qu'il m'oublie pour toujours, qu'il parte autre part, dans une autre ville après sa vengeance et je voulais qu'une seule chose oublie ce moment-là. Donc oui j'étais égoïste en sachant qu'il allait s'en prendre à une autre femme, mais Yelena était assez grande pour se défendre. Moi je ne pensais qu'à une seule chose, protéger ma famille et m'occuper d'eux ensuite. Et surtout m'occuper de mon futur mariage qui venait tellement vite, j'avais hâte. Je me demandais encore comment j'allais faire pour le faire s'évader de cette prison. Enfin depuis qu'ont me l'avais demandé j'y avais réfléchi. J'avais déjà observé les tours de garde, qui y venait. J'allais surement me mettre en policier pour faire un transfert quelque chose comme ça et ensuite il sans fuirait. Je pourrais faire passer ça pour une prise d'otages quelque chose comme ça. Je faisais un petit alors que je l'entendais essayer de se faire passer pour une victime, non mais je rêve quoi. Je le regardais dans les yeux en essayant de me retenir de ne pas trop le provoquer. " Je pense que vous avez cherché à vous retrouver ici. Vous êtes le coupable et non la victime." Oups je ne m'étais pas assez retenu, bah pas grave hein. Je soupirais alors que je réfléchissais toujours à comment j'allais le faire sortir de là. Heureusement que ce n'était pas une grande prison et donc j'allais pouvoir le faire sortir de là, bon pas si facilement que ça tout de même. En tout cas j'espérais vraiment qu'il allait m'oublier ensuite et rien que d'y penser ça me stressais un peu. Et s'il commençait à me menacer ensuite ou encore me demander beaucoup de choses, je ne supporterais pas. Je ne le connais pas beaucoup donc qu'est-ce qu'il pouvait faire ensuite. Et s'il me demandait de l'aider pour faire du mal à sa fille. Ah non je devais arrêter de me faire aussi peur. Il allait m'oublier un point c'est tout. Je fronçais les sourcils quand je l'entendais me demander de parler des amis de sa fille, oh non il était hors des questions que j'implique d'autres personnes qui n'avaient rien fait. Je croisais les bras en lui envoyant un regard noir." Oh non ça je refuse. Vous en voulez à votre fille d'accord, mais les autres n'ont rien fait. Je refuse de vous en dire plus et de toute façon je ne l'ai connaît même pas. " Je savais que je prenais encore des risques en refusant, mais c'était trop, je ne voulais pas qu'il s'en prenne à d'autres personnes innocentes.
Sujet: Re: Encore vous très chère [Mandy] Lun 7 Avr - 5:30
*Encore vous très chère*
Y a pas un homme qui soit né pour ça
Fitzgerald ferait une bien mauvaise amie ou même petite amie. Rien ne comptait pour elle que cette petite fille qui n'était même pas la sienne et cet homme qu'elle avait volé à sa meilleure amie portée disparue. Et oui, j'en savais des choses. Je savais également que cette meilleure amie était très certainement de retour en ville sous une autre identité et qu'elle était devenue la meilleure amie de ma petite princesse. Toute cette histoire était assez étrange, je vous l'accorde. Et légèrement morbide également. J'eus un rictus quand Fitzgerald m'annonça que j'étais le coupable et non la victime. Mais qu'est ce qu'elle croyait cette petite pimbêche... Je savais que j'étais le coupable et je ne m'en cachais pas.
"Coupable et fière de l'être. Je ne cherche pas à faire ma pauvre petite victime contrairement à certaines personnes qui sont tout aussi coupable que moi."
Et par ces autres personnes, je voulais bien entendu viser la jeune femme en face de moi. Parce qu'elle se disait victime de tout cela mais j'étais persuadé qu'elle aussi avait fait quelque chose qui l'avait mise dans cette situation. L'on n'a que ce que l'on mérite si vous voyez ce que je veux dire. Alors si elle était dans les ennuis jusqu'au cou, c'était parce qu'elle avait mérité d'être dans cette situation. Mon rictus, qui pouvait s'apparenter à un sourire, disparut quand elle refusa de me parler des amis de ma fille.
"C'est moi qui dicte les règles ici. Un mot de plus de ma part à celui qui tire les ficelles et vous perdrez la petite fille qui vous sert de fille et votre pseudo fiancé. Et puis, vous mentez très mal puisque vous connaissez les amis de ma fille... Entre Dos Santos, votre collègue journaliste, et Parker, qui ressemble comme une goutte d'eau à votre ancienne meilleure amie... Parlez moi de ces deux là."
Sujet: Re: Encore vous très chère [Mandy] Lun 7 Avr - 6:43
*Encore vous très chère*
Y a pas un homme qui soit né pour ça
Je commençais à en avoir de plus en plus marre de me retrouver devant cet homme, il ne montrait rien et se fichait de tout. Ce qu'il voulait maintenant c'était de sortir de cette prison et de se venger de sa fille . La vengeance, tout le monde a envie de se venger de quelque chose, mais certainement pas de la même manière . Après voilà on peut croire que je suis sans coeur, mais je ne peux pas protéger tout le monde, je dois protéger ma famille et mes amies. Après peut-être que je pouvais la prévenir, quoique vu qu'elle est dans la police, elle pourrait me mettre en taule direct et ce Cupidon sans prenait à ma famille sans que je puisse faire quoi ce soit. Cette situation était vraiment horrible pour moi et je me demandais pourquoi c'était moi qui avais été choisi pour faire ça. Je croisais les bras alors que je comprenais très vite que dans ses paroles il me visait ce que je ne supportais pas du tout. " Je suppose que vous me visez là? Je suis coupable de quoi moi?" J'avais bien envie d'avoir des explications pour mieux me défendre ensuite, je ne supporte pas qu'on m'accuse de chose que je n'ai pas faite. Et une chose que je ne supportais pas c'est qu'il venait me poser des questions comme quoi j'allais devoir lui donner des informations sur les amis de sa fille. Et puis quoi encore, déjà que de savoir qu'il allait s'en prendre à elle me mettait très mal à l'aise. Mais en plus qu'il allait surement s'en prendre à ses proches, il en était hors de question. Je lui envoyais un regard noir alors qu'il venait me menacer ce que je ne supportais pas. J'étais une totale victime dans cette histoire et je commençais à en avoir marre, ça avait des conséquences sur ma vie, sur ma famille. Il fallait que tout s'arrête et au plus vite. Je faisais tout pour rester calme et ne pas le gifler, on menaçait déjà ma famille, je n'avais pas besoin de lui en plus. " Je ne pense pas que vous soyez là pour dicter les règles. C'est moi et moi seule qui peux faire ce qu'on a prévu. Un geste envers ma famille, juste un et je ne reviendrais plus jamais ici." Je voulais lui montrer que je n'allais pas me laisser faire aussi facilement et ce que je disais était vrai, juste un geste de menace envers eux et j'arrêtais tout, enfin j'espérais pouvoir tenir. J'allais franchement devoir en parler à Alexandre, je ne pouvais plus faire ça toute seule. "Dos Santos je ne connais pas grand-chose sur lui et pareil sur Parker. Elle aurait été ma meilleure amie j'aurais eu des informations sur elle, mais comme je l'évite je ne connais rien sur eux."
Sujet: Re: Encore vous très chère [Mandy] Lun 14 Avr - 11:48
*Encore vous très chère*
Y a pas un homme qui soit né pour ça
Je voyais bien que la miss n'en pouvait plus. Mais je m'amusais trop pour la laisser partir comme cela. Et elle ne supportait pas que je la vise dans mes paroles sur les coupables. Pourtant, c'était ce qu'elle était: coupable de se faire passer pour une personne qu'elle n'était pas, de prendre une place qui n'était pas la sienne. Mais elle devait certainement le vivre très bien de faire une chose que beaucoup n'accepterait pas. Prendre la place d'une femme et se faire passer pour la mère d'une petite fille, c'était se rendre coupable d'un accouchement que l'on avait jamais connu. Enfin bon, je ne répondis pas à sa question, elle n'avait qu'à réfléchir. Je fronçais les sourcils quand elle m'annonça que je ne tirais pas les ficelles. Non, elle avait raison mais j'avais des cartes en mains. Si elle ne faisait pas ce qu'elle me demandait, l'homme qui tirait les ficelles l'apprendrait et s'en serait fini de sa fille et de son fiancé.
"Faites cela et je vous dit que vous le regretterez. Vous savez aussi bien que moi que vous êtes pieds et poings liés. Vous ne faites pas ce qu'il vous dit, votre petite famille passera ad patres."
Puis, elle ajouta qu'elle ne savait rien sur Dos Santos et sur Parker. Du moins, pas grand chose. Mais ce pas grand chose m'intéressait quand même. Sauf qu'au même instant, le gardien arriva pour me ramener dans ma cellule. Les dix minutes de discussion était passé. Je ne savais rien sur ma libération la semaine prochaine, ni même comment la journaliste allait s'y prendre. Cela serait donc une surprise. Je laissais le gardien me remettre mes menottes et m'obliger à me lever.
"Sauvez par le gongue mademoiselle Fitzgerald, il semblerait. Je vous dis donc à la semaine prochaine. Soyez à l'heure... Je déteste patienter."