Sujet: Quoi, déjà fini? [Michel/violent] Mar 3 Juin - 13:36
Quoi, déjà fini?
Déjà deux jours que j'étais au prise avec mon père. Enfin, au prise... J'étais attachée à mon sempiternel tuyau pendant que mon père s'occupait à me torturer. Mon visage était couvert d'ecchymoses et je ne sentais plus mon bras droit. Il avait violemment craqué hier quand mon père m'avait projeté vers l'avant. S'il m'avait fait souffrir hier, je ne le sentais plus aujourd'hui. Peut être que l'épaule était démise, pas la moindre idée. Toujours est il que je n'avais plus aucune sensation de mon épaule jusqu'au bout des doigts. Je ne pouvais que subir, j'étais incapable de me défendre des assauts de mon père. Pour l'instant, je n'avais essuyé que des coups physiques mais je savais que la véritable torture allait bientôt commencer. J'avais lu les rapports d'autopsie des victimes de mon père, je savais ce qu'elles avaient eu à subir: brulures à la cire de bougie, électrocutions, viols... C'était d'ailleurs ce dernier point qui me terrorisais plus que les deux premiers. Allez savoir pourquoi, j'étais moins déstabilisé quand il s'agissait de sévices physique que de sévices internes. Mais j'avais toujours mes jambes qui marchaient alors, s'il voulait faire ce genre de chose, je trouverais le moins de me défendre. Alors que je pensais à tout cela, la porte s'ouvrit sur mon père. J'attendais de voir ce qu'il m'avait prévu. Mais mes yeux étaient à moitié fermés à cause des coups que j'avais pris au visage. Je ne voyais donc pas grand chose de ce que mon père faisait. Je le perdis même de vue quand il quitta mon champ de vision.
Sujet: Re: Quoi, déjà fini? [Michel/violent] Jeu 5 Juin - 17:19
Poor little girl...
Today... You will beg me to kill you.
Cette nuit, j'avais bien dormi. Pourquoi? Parce que je savais qu'à l'étage supérieur de ce bâtiment désaffecté, ma fille attendait la mort. Elle commençait certainement à se rendre compte qu'elle ne s'en sortirait pas vivante. Ou du moins, pas en un seul morceau. En prison, j'avais lu beaucoup de livres sur la torture médiévale et, même s'il était impossible de se procurer des instruments de torture datant de cette époque merveilleuse, cela m'avait donné des idées pour la suite. Croyez moi, aujourd'hui allait être une bonne journée. Je m'étais réveillé avec le soleil pour être de bonne humeur. Je détestais me lever après le soleil, j'avais l'impression d'avoir perdu du temps. Mais aujourd'hui, j'étais à l'heure pour regarder le lever de soleil par une grande fenêtre. Aujourd'hui, la torture de Yelena allait commencer. Mais par quoi... J'avais tellement d'idées que je ne savais pas par laquelle commencer. Préférant aller lui demander ce qu'elle préférait, je partis d'un bon pieds à l'étage supérieur pour aller la réveiller... Si elle avait dormi bien entendu. Mais elle était bel et bien réveillée quand j'entrai dans la pièce où elle était retenu prisonnière. Elle était dans un sale état car hier, j'étais passablement énervé et j'avais passé mes nerfs sur elle. Au programme des réjouissances de la journée d'hier: une Yelena avec un visage couvert d'ecchymose et une épaule démise par mes soins. C'était quand même dingue ce qu'une femme pouvait être fragile. Je passais devant elle et partis me tapir dans l'ombre, attendant une réaction de sa part. Réaction qui ne tarda pas. Elle crana en disant que c'était déjà terminé.
"Attends, ne t'inquiète pas, cela ne fait que commencer. Nous avons douze heures devant nous. Douze longues heures pour nous amuser toi et moi."
Attrapant une corde, je la fis passer dans un crochet suspendu au plafond. Nous allions commencer de bonne heure aujourd'hui. Je n'avais pas pu tout faire hier et je comptais bien rattraper le temps perdu aujourd'hui. Faisant un nœud coulant à la corde, je la fis passer autour du cou de ma fille, toujours assise par terre. Une fois prêt, je regardais l'éclat de peur que j'attendais. Trouvant que le temps qu'il m'était à s'éclairer, je tirais violemment sur la corde, soulevant le corps de Yelena dans les airs, la corde serrait au niveau du cou. C'était assez amusant de la voir gigoter tel un asticot sur un hameçon. Quand elle fut au bord de l'asphyxie, je relâchais la corde.
"Toujours envie de craner ma chère fille? Ou toujours l'espoir que tes collègues te retrouveront?"
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Sujet: Re: Quoi, déjà fini? [Michel/violent] Jeu 5 Juin - 18:16
Quoi, déjà fini?
A noter: surtout ne jamais contrarié un tueur en série, surtout si ce dernier veut votre mort. Enfin, je le notais mais d'ici trente secondes, j'aurais déjà oublier. En tout cas, mon père me donna un timing qui me glaça les sangs: douze heures? Il voulait vraiment s'occuper de moi pendant douze heures d'affilées? Bon, j'avais beau savoir qu'il voulait me tuer, je savais également qu'il faisait souffrir ses victimes des journées entières alors douze heures... A croire qu'il voulait m'achever rapidement... Un autre changement dans son mode opératoire? Parce que déjà, mon kidnapping devant témoin, c'était une grosse entorse à son modus operandi d'avant son emprisonnement. Avant, toutes les personnes qu'il kidnappait étaient des femmes brunes aux yeux marrons, comme ma mère. Et il les kidnappait le soir, quand elles rentraient chez elles et qu'il n'y avait aucun témoin. Tout l'inverse de ce qu'il s'était passé deux jours plus tôt. Mon père revint dans mon champ de vision et passa une corde autour de mon cou. Je le sentis serrer mais pas trop le noeud autour de ma gorge. Je me retenais de parler mais je ne laissais rien paraître de ma peur. Erreur, c'était justement ce qu'il voulait voir dans mon regard: la peur. Je sentis soudain le noeud serrer violemment ma peau tendre alors que j'étais soulevée du sol, les menottes crissant sur le métal du tuyau. J'essayais de bouger pour me défaire de la corde qui m'étouffait mais je n'arrivais qu'à me faire encore plus mal à l'épaule. Je commençais à voir des mouches noires voler devant mes yeux, signe que mon cerveau commençait à manquer d'oxygène. Alors que je ne m'y attendais pas, la pression disparut alors que je tombais violemment au sol, la gorge en feu. Reprenant de l'air, mes poumons me brulèrent d'avoir été si longtemps privé d'oxygène. Je toussais et cherchant mon souffle.
Sujet: Re: Quoi, déjà fini? [Michel/violent] Ven 6 Juin - 12:10
Poor little girl...
Today... You will beg me to kill you.
J'étais assez content des idées de torture que j'avais pour ma fille. Elle pensait vraiment être assez forte pour supporter ce genre d'agissement? J'en avais fait craquer des plus coriaces qu'elle. En tout cas, j'avais jubilé de la voir se trémousser tel un asticot pour essayer de se défaire de la pression qui s'exerçait sur sa gorge. J'avais finalement relâché la pression car je ne voulais pas la tuer tout de suite. Elle retomba lourdement au sol et je la vis chercher son air. Alors que je pensais qu'elle allait garder sa langue dans sa bouche, elle m'insulta. Non, je n'étais pas cinglé, juste un psychopathe doublé d'un sociopathe. Et le genre de personne qu'il ne faut pas insulter ou enquiquiner. Sortant la clé des menottes de ma poche, je défis l'un des poignets mais laissais quand même l'autre poignet avec la menotte. Avant même que Yelena ne puisse essayer de se défaire, je la saisis par les cheveux et la trainais jusqu'à un petit seau. J'allais lui faire regretter ses paroles. Je lui plongeais violemment la tête dans le seau. Ce que je n'avais pas dit, c'est qu'il était plein d'eau. Je la laissais la tête sous l'eau pendant environ deux minutes, montre à la main. Une fois les deux minutes passées, je lui fit ressortir la tête de l'eau.
"Toujours envie de m'insulter?"
Je ne lui laissais pas le temps de répondre que je lui replongeais la tête sous l'eau pendant trois minutes. Je la ressortis et la trainais à nouveau jusqu'à son tuyau où je la réattachais. La suite des réjouissances? J'allais attendre qu'elle reprenne ses esprits avant d'attaquer vraiment la torture.
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Sujet: Re: Quoi, déjà fini? [Michel/violent] Sam 7 Juin - 14:14
Quoi, déjà fini?
Je savais que j'avais fait une bêtise en insultant mon père. Car je me souvenais des colères que mon père piquait quand j'étais enfant. S'il n'avais jamais levé la main sur moi jusqu'à mes cinq ans, c'était uniquement parce qu'il ne s'en prenait jamais à des enfants. Mais maintenant, j'étais une femme, une adulte. Alors j'étais persuadé que j'allais prendre cher. Et cela ne loupa pas. Mon père détacha l'attache d'un de mes poignets mais je n'eus pas le temps de me défaire de ses entraves qu'il m'attrapait une nouvelle fois les cheveux. Il devait vraiment aimer leur toucher car il s'en servait souvent pour me déplacer. Mouais... En fait, c'était surtout pour éviter que je ne me mette debout car, dans ce genre de moment, j'étais persuadé d'avoir le dessus sur mon père. Sauf que là, j'avais une épaule en vrac et j'étais affamée. Mon père ne m'avait rien donné à manger depuis qu'il m'avait kidnappé. Alors j'avais mes forces qui diminuaient de plus en plus. Morgewood me tira jusqu'à un seau. Je remarquais vite qu'il y avait de l'eau dedans. Je ne voyais pas ce qu'il voulait faire jusqu'à ce qu'il me jette la tête dedans. Ayant juste le temps de prendre une courte respiration, je ne sus combien de temps je restais la tête sous l'eau. Mon père finit par me redresser et je pus enfin prendre une respiration, retrouvant l'air qui m'avait manqué pendant la longue période où j'avais eu la tête sous l'eau. Il me demanda si j'avais toujours envie de l'insulter mais je n'eus pas le temps de répondre qu'il me replongeait la tête dans le seau. Cela dura encore plus longtemps que la première fois et je crus voir ma vie défilée devant mes yeux. Lorsque mon père me sorti la tête de l'eau, je me mis à cracher l'eau que j'avais dans les poumons. Il me tira dans l'autre sens et me rattacha. Croyez moi, cela m'avait quand même fait passer l'envie de l'insulter ou de me rebeller... Pour le moment.
Sujet: Re: Quoi, déjà fini? [Michel/violent] Lun 9 Juin - 14:16
Poor little girl...
Today... You will beg me to kill you.
Nan, franchement, torturer sa propre fille n'avait rien à voir avec ce que j'avais vécu avec les autres femmes dont je m'étais occupé avant elle. Même ma femme, sa mère, ne m'avait pas fait cet effet. Peut être parce que le plus gros du travail avait été fait pour Yelena elle même. Peut être que cela m'aurait fait le même effet si je l'avais moi même torturé puis tué. Ou pas. Car ce que je faisais à ma fille, je l'avais médité pendant vingt et un longues années. Alors que le meurtre de ma femme avait été sur un coup de tête. Après avoir tenté de noyer mon enfant, je la rattachais au tuyau... Mais par devant. Je n'en avais pas fini avec elle, pas encore. Lui arrachant son haut, je lui dégrafait également son soutient gorge. Oh, n'allez pas croire que j'allais abuser d'elle... C'était pas pour tout de suite ça. Non, j'avais une tout autre idée. Allant dans un coin de la pièce, je revins avec un martinet à neuf lanières de cuir. C'était un outil très souvent utilisé par les pirates pour fouetter à mort leurs prisonniers. Souvent, ils m'étaient des objets tranchants mais pas moi, je voulais que Yelena reste vivante le plus longtemps possible. Je me mis à la fouetter d'abord doucement, pour juste faire des traces rouges sur la beau blanche de son dos. Puis, voyant que cela ne faisait rien, j'augmentais la puissance de mes coups de fouet, allant jusqu'à lui ouvrir la peau. Quand même, c'était impressionnant ce que la peau d'un dos pouvait être fragile et tendre par endroit. Je ne saurais dire combien de temps cette torture dura, peut être entre une heure et une heure et demie. En tout cas, j'étais fière de voir dans quel état j'avais pus mettre ma fille. Reposant le fouet, je remis le soutient gorge de ma fille en vérifiant bien qu'il appuyait sur une ouverture sanguinolente. Je ne voulais pas avoir fait cela pour ne pas la voir souffrir encore plus après.
"Je te laisse te reposer, je reviens d'ici trois heures. Bisous ma chérie..."
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Sujet: Re: Quoi, déjà fini? [Michel/violent] Ven 13 Juin - 5:13
Quoi, déjà fini?
J'essayais de reprendre mon souffle mais j'avais l'impression que mes poumons étaient en feu. J'avais recraché toute l'eau que j'avais absorbé mais c'était comme si il y en avait toujours. Je ne compris pas ce qu'il avait en tête quand je me retrouvais menotté face à mon tuyau, le seul "ami" que j'avais dans ce sinistre endroit. Mais je commençais à avoir une vague idée quand il m'arracha violemment mon haut. En même temps, s'il n'y avait pas été franchement, je crois que mon chemisier ne se serait pas arraché. Il me dégrafa ensuite le soutient gorge et je crus que la pire des sévices allaient arriver. Mais non, il s'éloigna à nouveau de moi mais je ne pus voir ce qu'il avait été prendre dans son coin sombre, l'endroit où il devait ranger tous ses instruments de torture. Je ne compris ce qu'il avait en tête que lorsque je sentis la morsure du fouet sur ma peau. Mais hors de questions de crier, je ne voulais pas lui faire ce plaisir. Je crois bien que c'était ce que mon père voulait car les coups furent plus violents et je ne pus retenir un petit glapissement quand je sentis les lanières entailler ma peau pour la première fois. Plus les coups étaient violents, plus mes dents se serraient et plus j'avais du mal à retenir des cris. Je crois bien que j'avais fini par m'évanouir à cause de la douleur car, quand je me réveillais, je ne sentis plus les coups de fouet de mon père, qui était occupé à réinstaller mon soutient gorge pile sur une de mes blessures. Autant vous dire que, si cela ne faisait pas aussi mal que les coups de fouet, cela faisait quand même mal. Pourquoi donc faisait il cela? Me tuer n'était donc pas suffisant? Il fallait croire que non. Mon père quitta la pièce en me disant qu'il reviendrait dans trois heures... Mais il pouvait s'en passer des choses en trois heures. Je ne parlais pas de m'enfuir, j'avais déjà essayé de me défaire de mes menottes mais je n'avais réussi qu'à m'entailler les poignets. Je parlais plutôt d'arrêter tout cela. Comment? Je dois vraiment vous faire un dessin? Oui, je pensais réellement à me donner la mort moi même, pour ôter ce plaisir à mon père. Mais rien de ce que j'avais sous la main n'allait m'aider à mettre fin à mes jours. Perdant tout espoir de pouvoir m'échapper de cet enfer par la mort, je me surpris à penser que mes collègues n'arriveraient jamais. Et soudain, l'éclair de génie. Mon père ne m'avait pas fait les poches de pantalon et mon téléphone était donc toujours dedans. Me contorsionnant, je réussis à le faire sortir de cette fameuse poche et à le monter au niveau de mes yeux. Nouveau désespoir... Pas de réseau. La vie était décidément contre moi en ce moment. Peut être même qu'elle l'avait toujours été.
Sujet: Re: Quoi, déjà fini? [Michel/violent] Mar 17 Juin - 5:19
Poor little girl...
Today... You will beg me to kill you.
Je regardais ma fille du coin de l'oeil. J'avais réussi à lui arracher des petits cris de douleurs et j'en étais heureux. Je n'avais pas encore eu droit aux hurlements mais cela viendrait. Je la laissais donc tranquille pendant un long moment. Je lui avais dit trois heures mais cela serait certainement un peu plus longtemps, juste pour qu'elle pense que le temps ne passait pas. Tout n'était que torture psychologique. Pendant ce temps, j'en profitais pour me renseigner sur les tortures que je pouvais facilement faire à ma fille. Alors au revoir les tortures médiévales. Il fallait des instruments un peu bizarres que l'on ne trouvait pas facilement en libre service. Mais cela me donnait quand même des idées de tortures psychologiques. Car après tout, la torture n'était pas que physique, elle pouvait être psychologique et faire aussi mal que du physique. Alors que je lisais toujours mon livre, j'entendis Yelena bouger dans la pièce d'à côté. Elle essayait encore de se défaire de ses menottes? Bien décidé à aller lui faire comprendre qu'elle n'y arriverait pas, je me levais et allais dans l'autre pièce. Cette petite garce avait sorti son téléphone portable. J'avais été idiot de ne pas le lui enlever.
"Espèce de sale petite..."
Soudain très en colère, je lui arrachais son smartphone des mains et l'écrasait au sol, allant jusqu'à le piétiné pour qu'il ne soit plus jamais utilisable. Et surtout pour qu'il s'éteigne. Je savais que le FBI pouvait avoir accès au système GPS qui se trouvait à l'intérieur pour la retrouver. Une fois le téléphone hors d'usage, je pris la tête de ma fille entre mes mains pour lui faire comprendre qu'elle allait le regretter. Lui assenant une gifle, je finis par envoyer sa tête dire bonjour au tuyau. Espérons qu'elle soit suffisamment sonné pour ne plus essayer de me trahir.
"N'oublie pas, tu m'as obligé à te faire du mal!"
Sortant de la pièce, je retournais à ma lecture. Je n'entendais plus un bruit venant de la pièce où ma fille se trouvait. Peut être avait elle fini par s'évanouir à cause de la douleur. Je n'avais plus qu'à attendre qu'elle reprenne ses esprits. Cela pouvait prendre un certains temps mais après tout, je n'étais pas pressé. Avec son téléphone maintenant mort, ses collègues allaient devoir passer tout le sud de LA au peigne fin et j'aurais le temps de changer de cachette si jamais je venais à être découvert.