Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Lun 5 Mai - 0:25
Les cliente est toujours Reine.
Kendall ft. Adam.
Surprenante. Oui, c'était le mot qui décrivait le mieux le petit bout de femme qui se trouvait devant lui. Par contre, surprenante n'est pas nécessairement une qualité. On peut être très désagréablement surpris d'une situation, comme agréablement, et dans le cas qui les occupe, c'est de manière amusante qu'il est surprit. Oui, Adam était amusé. D'abord, parce qu'elle répondait à sa mise en garde par une menace de bas de gamme. Pour une féministe comme elle semblait l'être, menacer des hommes de les accuser pour viol est plus qu'aberrant. Sans compte que c'était complètement absurde. Adam se tenait au fait d'absolument tout ce qui se passait dans son hôtel. C'est pourquoi, chaque recoin de l'établissement est muni de caméras de surveillance, y comprit les chambres. Difficile pour elle de l'accuser de viol dans le circonstances de la veille. Ça serait même une victoire personnelle pour le jeune homme de voir le jolie visage de belle se décomposer en voyant la vidéo de leurs ébats devant les policiers. Quoi qu'il en soit, il préféra ignorer cette remarque sachant que ça mènerait à un débat sans fin sur qui aurait le dessus aux yeux de la loi et il s'en lasserait vite. Pour toute réponse, quelques rires fusèrent dans la pièce de la part de ses hommes de mains qui avaient bien compris à quel point elle se jetait d'elle-même dans la gueule du loup.
Un bunker? Et alors? La plupart des établissements de valeur en avaient un. On ne sait jamais quand on peut être victime de terrorisme. On en fait jamais trop pour se protéger. Non mais, plus elle parlait, plus il la trouverait incroyablement idiote. Ça faisait des années, malgré son jeune âge, que Adam était implanté dans son milieu. Croyait-elle vraiment qu'il n'avait pas déjà pensé à tout pour se protéger? Croyait-elle vraiment être la première à tenter de l'intimider? Quand il parla de son réseau de prostitution, il ne pu s'empêcher d'éclater de rire. Comme elle est mignonne! ''La seule chose qui pourrait donner l'impression que cet hôtel possède un service d'escorte c'est quand des clientes comme toi s'écartent les jambes pour un oui ou pour un non. Une baise et hop.. on arrête de se plaindre pour un plat trop salée pour le goût de la princesse.. mais je sais que tu as pris ton pied.. ''
Elle délirait complètement. Ne l'avait-il pas nommé mafieuse italienne? Faut croire qu'elle écoute aussi bien qu'elle menace. Si ça continuait encore sur cette lancée trop longtemps, il aurait vraiment l'impression de s'abêtir. De toute évidence, elle n'avait pas été élevée dans les règles de l'art. La règle numéro un. Se fermer la gueule. Elle, de son côté, déballait tout sans même qu'on prenne la peine de lui poser des questions. À ce rythme, une nuit entière passer avec elle et le milliardaire connaîtrait leur réseau sur le bout des doigts. C'est pathétique. ''Oh mais merci pour cette remise à niveau..''
Il se retourna vers l'homme attaché qui se vidait de son sang. Aucun moyen qu'il puisse se sauver. Son genou explosé, il ne pouvait que prier le ciel que son calvaire soit bientôt terminé ''Je t'ai dis que tu pouvais l'ouvrir toi? À moins que tu veuilles partager un sac en plastique avec ta petite-amie avec un aller simple pour le fond de la mer je te conseil de la boucler'' Il soupira profondément agacé de tout ce qui se passait. Il avait déjà assez bien de boulot ailleurs pour ne pas avoir du temps à perdre pour une guerre, qui au départ, ne le concernait même pas. Un petit sourire en coin suivi. Évidemment qu'elle n'allait pas le tuer. Et l'enculé sur la chaise le savait aussi. Pourquoi croyait-elle qu'il ne lui dirait rien. Adam serait prêt à parier n'importe quoi que de son côté il arriverait à lui faire cracher quoi que ce soit. Pourquoi? La réponse est simple. Il lui avait prouvé qu'il n'avait pas peur de tirer et que rien de l'empêchait de le faire.
Maintenant elle s'excuse? Bon... finalement elle n'est peut-être pas une cause perdue. Elle arrive à se rendre compte qu'elle a dépasser les bornes. Comme une gamine prise en faute, elle va s'appuyer contre le mur la tête basse. Il se mordit la lèvre inférieur en la regardant faire. Là, maintenant, il aurait bien voulu la prendre contre le mur. La faire hurler à nouveau. Et à vrai dire, la situation présente l'excitait. Il était en pouvoir de tout, en contrôle, il aimait ça. Elle voulait faire une plainte pour viol? Pourquoi ne pas lui donner l'occasion d'être un peu plus crédible dans son histoire? D'un pas assuré, il marcha vers elle, mais arrivé devant, la porte s'ouvrit. Ses deux hommes de main revenait avec le gamin en leur possession. De toute évidence, il était terrorisé. Dès qu'il vit la jeune femme, il éclata en sanglot et couru pour se serrer contre elle. Adam soupira en roulant les yeux. Les enfants, encore plus les pleurnichards, lui tapait royalement sur les nerfs.
''Occupez-vous de lui..'' La seconde suivante, trois hommes allèrent détacher le blessé qui n'avait même pas la force de se débattre. Lui mettant un sac sur la tête pour ne pas qu'il puisse retrouver le chemin du bunker, ils le mirent dans le coffre d'une fourgonnette noire aux vitres teintées. Le directeur fixait l'italienne ''Je suis censé faire quoi de toi maintenant?''
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Ven 9 Mai - 18:43
Les cliente est toujours Reine.
Kendall ft. Adam.
*Il y avait certains matins ou l'Alestra se demandait vraiment pourquoi elle était venue en Amérique. Pourquoi elle n'était pas resté sagement en Italie, auprès de ses parents, de ses amis et de sa petite vie tranquille. Elle aurait suivie un cursus en mythologie grecque, et aurait enseigné cette matière quelques années plus tard. Et puis elle aurait rencontré quelqu'un de très éloigné de la mafia, et tout ce qui l'entourait et elle aurait eu une vie paisible. Mais bon, au lieu de ça, Kendall était venu à Los Angeles, s'était fait enrôlée de force dans la MIA, avait dû tuer pas mal de gens pour faire plaisir à son oncle et là elle se retrouvait au fin fond d'un bunker d'un hôtel de luxe avec un directeur visiblement psychotique avec des excès de colère plus ou moins contrôlé, sûrement un complexe refoulé quelque part mais passons, et des hommes (ou des toutous selon l'italienne) qui s'esclaffaient à s'en décoller les poumons. Oui, sa vie était plutôt pourrie à ce moment là. Sans oublier le fait que quelque part dans l'hôtel, se trouvait le gamin, et elle ne savait pas dans quel état.
La jeune femme inclina la tête sur le côté et un sourire hypocrite se dessina sur son visage. Oui, donc, d'après lui, c'était une pute. Là, ça dépassait tout entendement. Donc lui, il avait le droit de s'envoyer en l'air avec des clientes autant qu'il voulait, et elle, elle avait pas le droit de prendre son pied ? Décidément, elle aurait vraiment dû fermer sa gueule, la veille au soir. Au pire des cas, elle serait morte intoxiquée dans la nuit, mais elle n'aurait pas eu à supporter son arrogance en cet instant précis. La brunette dû se faire violence pour ravaler certains mots regrettables qui voulaient sortir de sa bouche. Mais contrairement à ses congénères italiens, elle arrivait à contenir sa fierté dans certains moments. Bon, ce n'était pas vraiment ce qu'elle avait fait quelques instants plus tôt en lui déblatérant la différence entre la mafia et les gangs. Pas très malin de sa part, mais il y avait des limites à ne pas dépasser. Et comme si ce n'était pas assez, l'imbécile derrière en rajouta une couche. Non vraiment, c'était pas son jour à elle.
Faussement outrée devant l'emploi de l'adjectif 'petite amie', la brune se demanda sérieusement si elle pouvait sortir avec un mec comme ça. Oui, elle n'avait pas grand chose d'autre à faire pour éviter de penser à l'état dans lequel elle retrouverait Paolo. Si elle le retrouvait. A cette pensée, sa gorge se serra. Pourrait-elle regarder la mère du petit lorsqu'elle devrait lui expliquer sa disparition ? Des pas lui firent relever la tête, et l'Alestra découvrit que le Bakersfield en était l'auteur. Et il avait une lueur étrange au fond des yeux. Un sourcil arqué, Kendall était perplexe. Qu'est-ce qu'il lui voulait ? Elle n'avait pas vraiment envie de le savoir. Fort heureusement, peut-être que Dieu existait vraiment puisque c'est à ce moment là que deux hommes revinrent, le petit entre eux. Dés qu'il aperçut la jeune femme, il courut pour venir se jeter dans ses bras.
La brunette s'accroupit, pour être à la hauteur du petit italien, et elle resserra l'emprise de ses bras autour de lui. Il sanglotait dans son cou, et la jeune femme lui caressait les cheveux en le berçant doucement jusqu'à ce que ses pleurs ne cessent. Elle jeta un rapide coup d'oeil au directeur qui venait de lui poser une question. Attendait-il réellement une réponse ou était-ce encore une rhétorique et elle était dans la merde ? Quoi qu'il en était, sa priorité était Paolo. L'Alestra se recula doucement pour observer le visage de l'enfant encore baigné de larmes. Avec ses pouces, elle les essuya et lui fit un sourire réconfortant. Il n'avait aucunes égratignures, ce qui était bon signe.*
"Hey. Tu n'as plus rien à craindre maintenant, je suis là, d'accord ? Plus personne ne va te faire de mal."
*Le petit acquiesça doucement et renifla bruyamment avant de revenir nicher sa tête contre le cou de l'italienne. Déposant sa tête sur sa frêle épaule, la jeune brune ferma les yeux et se retint fortement de craquer. Elle se revoyait, guère plus grande que lui, dans la même situation. Comme elle, il avait eu la malchance de naître dans la mauvaise partie de la famille, celle qui veut rester fidèle à ses origines, et qui doivent en subir les conséquences. Se reprenant, elle sourit au petit garçon et se remit debout. Ne se décollant pas d'elle, il enfouit sa tête contre sa hanche et enroula ses bras autour de ses jambes. Elle secoua légèrement la tête pour se remettre les idées claires et posa une main protectrice dans la chevelure du petit Paolo. Un léger sourire naquit sur ses lèvres à l'attention du directeur. S'il voulait la faire réagir pour mieux la faire tomber, c'était raté. Elle n'était pas vraiment en état de se lancer dans une joute verbale ou pire.*
"Au cas où, je peux fermer les yeux, je ne suis pas hyper fan des sacs plastiques sur la tête. Ça donne de l'électricité aux cheveux, une horreur."
*Quitte à se faire plumer, autant le prendre avec humour. Tout ce qui l'importait, c'était que Paolo rentre chez lui sain et sauf. Elle, c'était une autre histoire. Il était certain que le Bakersfield n'allait pas fermer les yeux comme ça et les faire sortir de l'hôtel main dans la main en leur souhaitant de revenir bientôt.*
"Juste ... Ne faîtes pas de mal au petit s'il vous plait. Il n'y est pour rien.
*La forme de politesse lui avait écorché la langue. Elle espérait qu'il n'était pas aussi monstrueux qu'elle pouvait le penser pour qu'il s'en prenne à un enfant de même pas dix ans. Renforçant son emprise sur la chevelure du garçonnet, l'Alestra plongea fixement son regard dans celui du directeur, bien déterminée à ne pas lui laisser toucher ne serait-ce qu'un cheveux de Paolo.*
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Adam H. Bakersfield
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Mer 14 Mai - 0:06
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Ce genre de scène l'horripile. À quoi peut bien service ces humains miniatures qui ne font que pleurer? Au début de son petit business, Adam avait fait quelques erreurs de parcours. C'est ce qui arrive quand on commence au bas de l'échelle complètement seul. Il avait accepté que des hommes baisent ses putes sans mettre de préservatifs. Résultat, elles tombaient enceintes et elles ne performaient plus autant. Quand leur ventre grossissait, elles ne pouvaient plus du tout bosser et pas mieux après la naissance. Elles n'étaient presque plus disponibles. Peu après, chacune de ses filles devaient se rendre à la clinique pour se faire faire une injection de depo-provera. Les gamins ne sont qu'une source de problèmes et une énorme faiblesse. Quoi de mieux pour quelqu'un qui vous veut du mal de s'en prendre à sa progéniture? Les gens iraient jusqu'à se tirer une balle eux-même dans la tête si c'était pour protéger leurs enfants. Pathétique.
Avec le morveux contre elle, l'italienne pouvait presque avoir l'air gentille et vulnérable. Elle avait visiblement un côté maternel qui détonait fortement dans son image de femme confiante et au dessus de ses affaires qu'elle tentait d'avoir quelques minutes plut tôt. Un de ses hommes de main vient près de lui afin de lui glisser quelques mots à l'oreille. Un petit signe de tête et il était déjà parti. Plus qu'elle, le propriétaire et le moustique. Oh mais c'est qu'on tente de faire de l'humour. Y'a pas à dire, cette femme à plusieurs facettes. Il va falloir qu'elle fasse gaffe, parce que si elle sort toutes les cartes de son jeu aussi rapidement, il ne lui restera pas grand chose dans les moments critiques et vu tout ce qui se passait depuis la veille, le Bakersfield avait dans l'impression que ce n'était pas encore terminé. ''C'est vraie qu'une femme de ménage avec de la statique dans les cheveux c'est pas très sexy''
Un signe de tête vers la sortie pour lui indiquer d'avancer. Reprenant le même chemin qu'à l'arrivé, Adam laisse l'arme derrière lui en ordonnant par un petit coup de fil à ses hommes de venir nettoyer le bunker. ''On va aller à mon bureau.. cache les yeux du petit'' Adam avait l'impression qu'il pouvait compter sur le silence de la brunette, mais un gamin c'est trop imprévisible pour pouvoir se fier dessus. Encore moins un qui était traumatisé. Sans oublier qu'il en avait vraiment marre de l'entendre chialer. Une fois dans son antre, il referma la porte derrière eux. ''D'abord, tu vas rendre ce goss à ses parents, j'ai pas envie d'utiliser mes effectifs pour m'occuper d'une boule de problèmes et toi non plus, tu n'as pas le temps, j'ai d'autres projets pour toi''
Adam reprenait peu à peu son calme et son assurance. Il était dans son bureau, dans son monde, là où il avait le contrôle. Il avait reprit les choses en mains, le fouteur de merde en avait eu pour son compte, la petite bête était en sécurité et il n'y avait pas eu trop de vagues dans l'hôtel. Tout semblait vouloir rentrer dans l'ordre pour sa plus grande satisfaction. Cependant, il n'en avait pas terminé avec elle. Oh non! Ce n'était pas dans ses habitudes de laisser filer des gens qui lui avaient donné du fil à retorde sans leur faire comprendre qu'on ne pouvait pas s'en sortir aussi facilement après d'être attaqué à un homme de la trempe de Adam.
''J'espère que tu n'as rien de prévu pour les prochaines heures parce que tu ne seras pas disponible pour personne'' Se dirigeant à son mini bar, il se servit un verre de bourbon avec un seul glaçon dedans. Un soupire de bien être. Il n'y avait rien de meilleur pour calmer les humeurs et se détendre. Après quelques gorgées, il se retourne vers elle pour lui faire face ''Débarrasse toi de lui.. maintenant..'' Dès que le gamin serait parti, il se rendrait à la chambre de la demoiselle avec celle-ci. La pique sur la femme de ménage n'était pas une blague. Si elle pensait que le propriétaire allait payer de ses poches pour remettre en état la chambre de luxe qui coûtait la peau de fesses à ses clients, elle allait être surprise. À cause de ses conneries, la chambre ne serait pas utilisable avant quelques jours et il refusait de débourser pour ça. La petite mafieuse allait devoir mettre les mains à la pâte et il se fera un plaisir de regarder le spectacle un bon verre d'alcool à la main.
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Mer 14 Mai - 17:31
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*Contre elle, le petit commençait à se calmer. Ce qui n'était pas une chose aisée pour la brune. Elle avait plutôt tendance à être mal-à-l'aise avec les enfants, c'était d'ailleurs une des raisons pour lesquelles sa librairie ne vendait pas de livres enfantins. Pourtant là, elle arrivait à maitriser la situation. Peut-être était-ce parce qu'elle l'avait déjà vécu et qu'elle savait comment réussir à le consoler. Elle ne prêta pas trop attention à ce qui se passait autour d'elle. Elle ne revint à la réalité que lorsqu'elle entendit le timbre de voix terriblement sexy du directeur. Et cela la laissa plutôt perplexe ? Donc, après l'avoir prise pour une pute, il la prenait pour une femme de ménage ? Mais c'était quoi son problème ? Paolo leva des yeux interrogateurs vers elle, et Kendall se contenta d'hausser les épaules, un sourire rassurant sur les lèvres. Main dans la main avec le petit italien, elle suivit Adam. Qui s'arrêta net. Alors qu'elle allait se préparer psychologiquement à avoir un sac sur la tête, elle fut plutôt surprise. Ainsi, il lui faisait confiance sur ce coup là ? Peut-être n'était-il pas une cause perdue alors. S'abaissant au niveau de Paolo, elle lui enleva son gilet et le rassura dans de doux mots italiens que tout allait bien se passer, que c'était juste pour sa sécurité. Puis elle en fit un bandana et le noua autour de sa tête. Lui reprenant la main, elle se remit en marche. Une fois qu'ils furent dans le bureau, elle lui enleva. Les yeux rougis du garçonnet lui donnait un air si innocent. Se retournant vivement vers le directeur de l'Olympe, elle arqua un sourcil.*
"Des projets ?"
*Elle ne le sentait pas vraiment, sur ce coup là. Et la suite n'arrangea rien du tout. Ce type était vraiment horripilant à ce niveau, avec ses phrases qui donnaient la moitié de l'information principale. Soupirant, elle hocha la tête et sortit son portable. Rapidement, elle composa le numéro de son cousin et reprit la main du petit en se dirigeant vers la sortie.*
"Dis au revoir au Monsieur."
*Le petit garçon se retourna vers le directeur et le salua timidement de la main avant de venir se resserrer contre l'italienne, intimidé par le regard perçant de l'homme. Rapidement, ils entrèrent dans l'ascenseur et la brunette sourit à Paolo.*
"Ta maman est en chemin."
*Cette phrase sembla redonner au gamin le moral et il tira presque l'Alestra vers la sortie. Ils attendirent une dizaine de minutes devant l'entrée principale de l'hôtel avant que la voiture d'Enzo ne vienne se garer devant, et que Carolina, la mère du petit, n'en descende en trombe et vienne se jeter sur le petit. Enzo sortit plus doucement mais fit de même avec Kendall, la serrant dans ses bras comme si elle avait failli mourir. Bon, c'était presque ça, mais elle n'allait pas lui dire. Il mit ses deux mains sur ses joues et inspecta le visage de l'italienne. La jeune femme râla, ayant l'impression d'être face à son père.*
"Mais ça va, je te dis !"
*Affectueusement, il lui mit une petite tape sur la joue et en guise de réponse, elle lui mit un coup de poing dans l'épaule. La seconde qui suivit, elle fut submergé par une vague de boucles blondes appartenant à Carolina, la remerciant dans les deux langues.*
"A vrai dire, j'ai pas fait grand chose, c'est hum ... le directeur de l'hôtel qui l'a retrouvé ... D'ailleurs je dois aller le voir, histoire de le remercier, et tout ça ..."
*Suite à cette phrase, son cousin lui lança un regard interrogateur pleins de sous-entendus. Kendall fit mine de l'ignorer, salua Paolo qui était déjà à fond dans la console que sa mère venait de lui apporter et retourna à l'intérieur de l'hôtel, se préparant psychologiquement à ce que le Bakersfield lui avait réservé. Enfin de retour devant son bureau, elle tapa trois petits coups contre la porte avant de l'ouvrir et de pénétrer de nouveau dans la pièce. Mettant les mains dans ses poches, elle observa le brun.*
"Alors ?"
*Elle ne savait pas vraiment comment le prendre. Si elle devait s'inquiéter, ou pas. Il était plutôt déstabilisant sur ce plan là. Attendant sa réponse, l'italienne visita des yeux son bureau. Plutôt luxueux, ce qui ne l'étonnait pas. Organisé, à son image. Trop, peut-être. Mais ce qui attira Kendall fut la vue de la ville qu'offrait les larges fenêtres. Elle s'approcha doucement et contempla la cité des Anges en pleine ébullition. Avec tout ça, elle ne s'était pas rendu compte qu'il était déjà presque midi.*
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Adam H. Bakersfield
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Sam 17 Mai - 2:20
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Le propriétaire aurait pu lancer un petit sourire réconfortant un gamin avant qu'il ne parte, mais il n'en fit rien. À quoi bon lui faire croire que tout irait bien? Très peu avait la chance, disons plutôt le talent, de réussir dans la vie. De faux espoirs ça ne fait qu'affaiblir l'humain. La réalité et ses coups durs le renforce. Lui-même étant jeune, quoi qu'il n'est pas vieux non plus, ne l'avait pas eu facile. Il ne s'en plaignait pas. Au contraire, il remerciait sa pute de mère. Au fond, c'était un peu grâce à elle s'il était aussi puissant aujourd'hui.
L'italienne et le morveux partirent rapidement. Il aurait pu les faire suivre. S'assurer qu'elle revienne, mais quelque chose lui disait que c'était une femme de parole malgré toute la merde qu'elle avait causée dans son hôtel. Même s'il comprenait, comprendre est un grand mot, ses motivations, il ne pouvait pas laisser tout ça sans conséquences. Il c'était toujours plié à une manière d'agir et jamais il n'en dérogeait. Le jeune Bakersfield avait beaucoup à perdre et il n'avait pas l'intention de laisser qui que ce soit risquer de le faire tomber de son pied d'estale. Si ses hommes et lui-même n'avaient pas pris la situation en main, qui sait ce qui aurait pu se passer. Il préférait ne pas l'imaginer pour éviter de se mettre en colère.
Debout devant l'immense baie vitrée qui faisait tout un pan de murs, les mains dans les poches, il observait cette petite fourmilière qu'était Los Angeles à cette heure de la journée. La demoiselle entra dans son bureau, mais il ne prit pas la peine de se retourner pour la saluer. Peu de temps après, elle se retrouva à côté de lui pour contempler elle aussi la vue qui s'offrait à elle. Un panorama digne de ce nom. Il adorait cette vue qui surplombait la ville lui donnant encore plus le sentiment d'être invincible. Toujours sans la regarder, il soupira ''Je n'ai pas l'intention de te tuer ou encore de te faire du mal. Tu es revenue ici par toi même faire face aux conséquences de tes actes et je respecte ça. Par contre, tu dois te douter que je n'ai pas l'intention de payer les répercussions de tes conneries dans mon hôtel. Tu vas me rembourser'' Lentement, il se tourna vers elle, le visage dépourvu d'émotions. ''Mais je ne veux pas d'argent'' Sur ces mots, il se retourna et prit la direction de la sortie de son bureau. Il n'avait pas vraiment besoin de préciser que tu devais le suivre, ça allait de soit. Sur le chemin, il croisa quelques clients réguliers de l'hôtel qu'il salua chaleureusement avec des poignées de main et des petites tapes amicales dans le dos. Devant ces étrangers, il semblait si humain, si tendre et sociable. Une image complètement différente de ce qu'il pouvait projeter dans le privé ce qui pouvait être assez déstabilisant. Il arrêta sa marche devant la chambre qu'avait loué la jeune femme et d'un signe de main, l'invita à y entrer avant lui. Une fois à l'intérieur, Adam soupira de découragement en voyant l'étendu des dégâts. Comme s'il se trouvait dans son propre appartement, totalement à l'aise, il se rendit au canapé et poussa au sol les objets qui le recouvraient afin de se faire une place et s'y installe confortablement. ''Il est midi, j'imagine que tu dois avoir faim'' Il prit le téléphone de la chambre et demanda qu'on lui monte la table d'hôte du menu du midi pour deux avec une bouteille de vin. Il raccrocha le combiné avant de finalement poser le regard réellement sur la brune. Il l'observa ainsi un petit moment avant d'ouvrir la bouche avec un petit sourire. Le premier depuis plusieurs heures. ''Il y a un dicton qui dit qu'on est jamais mieux servi que par soi-même. Tu vas devoir te l'approprier parce que je n'ai pas l'intention de réparer les dégât qu'il y a eu ici par ta faute. Et te laisser payer quelqu'un pour le faire serait également un peu trop facile. Tout ça pour dire que tu vas devoir t'en charger. Des mains agiles capable de tenir correctement un revolver doivent être capable de faire un boulot impeccable. Et comme je suis plutôt sympathique, je tiens à rester ici pour te tenir compagnie''
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Dim 18 Mai - 17:41
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*Un nuage passa. Puis deux, puis trois ... A un moment donné, la jeune femme se demanda s'il comptait tous les compter ou bien s'il allait enfin lui exprimer le fond de sa pensée. Enfin, exprimer semblait être un grand mot pour Adam Bakersfield. Elle aurait bien aimé savoir ce qui se passait dans sa tête. Quoi que ... Non, en fait. Elle n'avait pas du tout envie de savoir, et le plus elle se tiendrait éloigné de lui après ça, le mieux elle se porterait. Quant il ouvrit la bouche, l'italienne se retint d'applaudir. Il lui en fallait du temps, pour trouver ses mots.
Mais la suite lui effaça sa bonne humeur. Il la prenait responsable pour le massacra de sa chambre. Sérieusement ? Il avait vu la vierge, c'était certain. Ce n'était pas la faute de la jeune femme s'il s'était débrouillé pour avoir un infiltré d'une mafia dans ses employés, il ne pouvait s'en prendre qu'à lui même ou au responsable des employés. La jeune femme s'était juste retrouver fâcheusement mêlée à cette histoire. Bon, elle avait une part de responsabilité, mais l'important était qu'il avait été démasqué, non ? Elle avait manqué de lui rire au nez quand il lui avait dit respecter le fait qu'elle soit revenue. Ce n'était pas de gaîté de coeur qu'elle l'avait fait, et c'était plus pour elle que pour lui.
Quant il lui demanda le remboursement de la chambre, elle tourna le visage vers lui, pour voir s'il était vraiment sérieux. Visiblement oui. Alors que l'Alestra allait lui répliquer qu'il pouvait toujours aller se faire voir pour que la MIA ou elle ne lui verse un seule centime, il rajouta qu'il ne voulait pas d'argent. Quoi alors ? Des cookies ? Décidément, ce mec avait le don d'agacer l'italienne avec ses devinettes et ses sorties théâtrale. Soupirant un bon coup, elle finit par le suivre. Déjà, ils ne prenaient pas un chemin secret. C'était déjà ça pour la brune. En chemin, ils croisèrent des clients, et le Bakersfield était ... différent. Mais vraiment différent. Très doué pour jouer les hypocrites. Elle allait se méfier à l'avenir ...
Son coeur rata un battement lorsqu'elle reconnu la chambre de la suite qu'elle occupait. Elle tenta de ne rien faire paraître et pénétra dans la pièce. Le désordre la fit frissonner. Qui sait ce qui aurait pu se passer si elle avait été encore là ? La libraire ne préférait ne pas y penser. Trop occupée à observer la pièce, elle ne prit même pas la peine de répondre à sa question. De toute manière, il semblait être le roi des questions rhétoriques. Elle se contenta de donner un coup de pied dans des plumes posées à terre après la visible éventration d'un coussin. Ils n'y étaient pas allés de main morte, mais qu'est-ce qu'ils cherchaient ? L'italienne n'avait même pas prit de pistolet, ni rien de bien intéressant. Des fringues, un bon vieux livre et une trousse de toilette. D'ailleurs, elle gémit en voyant une de ses robes complètement froissée à terre. Elle lui avait coûté une fortune et était en soie. La jeune femme la ramassa et tenta de lui redonner une forme correcte avant de la poser sur le lit. Elle s'avança vers le canapé. En entendant ses paroles, elle faillit s'étouffer. Rapidement, elle se positionna devant lui, les mains sur les hanches.*
"Pardon ? J'ai cru mal comprendre ... Vous voulez que je fasse la boniche ? Mais vous avez des femmes de ménage pour ça, à ce que je sache."
*C'était le comble de l'ironie. Il pensait vraiment avoir les droits sur tout, c'était insensé. Heureusement, on toqua à la porte au bon moment, et un employé entra. Il faillit renverser le plateau en voyant l'état de la pièce mais l'Alestra lui envoya un regard signifiant de pas ouvrir la bouche la dessus. De mauvaise humeur, elle s'installa à son tour dans le canapé, le plus loin possible d'Adam et croisa les bras sur sa poitrine. Elle ne s'était pas tapé cinq ans d'université et un diplôme de littérature et de mythologie grecque pour faire la bonne dans un hôtel de luxe avec un patron aussi capricieux qu'un enfant de dix ans. Sans rien dire, elle observa l'employé mettre en place le repas, visiblement nerveux d'être devant son patron. C'était plus un tyran qu'un patron, vu sous cet angle ...*
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Adam H. Bakersfield
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Dim 18 Mai - 23:58
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Il y avait déjà eu assez de rebondissements en une seule journée. Là, il ne voulait que manger et accessoirement, voir la petite brunette se mettre à quatre pattes pour nettoyer ce fouillis. Tout au long, il gardait son air neutre. Comme si rien ne pouvait l'affecter. Il en avait eu plus que son tour aujourd'hui et se prendre la tête avec une petite princesse était bien le dernier de ses soucis. ''Effectivement, J'AI des femmes de ménages que JE paye toutes les semaines pour faire le nettoyage des chambres de MON hôtel. Par contre, là il s'avère que ce bordel est de TA faute et que je n'ai pas à assumer la merde que toi et tes petits amis mafieux avez décidé de mettre. Tu peux te défendre tant que tu veux en disant qu'il faisait partie de mes employés, mais c'est uniquement à cause de TA présence que tout est sans dessus dessous. Il a voulu te dire de foutre le camp. Vos guerres ne me concernent pas. Déjà que je vais perdre des centaines de dollars parce que cette pièce ne peut pas être loué pour d'autres clients, je ne vais pas en plus payer pour la faire remettre en état. C'est alors à toi que revient le boulot, ce qui est parfaitement légitime. N'est-ce pas Julio ?''
L'employé n'osait pas les regarder, préférant porter son attention sur les plateaux qu'il tentait de disposer du mieux possible sur la table. ''Évidemment Monsieur'' Un large sourire naquit au coin des lèvres du patron. C'était une qualité qu'il appréciait plus que tout chez ses subalternes. La fidélité. Adam se leva du canapé pour s'installer à la table. Pour se faire il dut relever une chaise renversée au sol. Il le fit naturellement comme si rien était et s'installa pour manger. Il espérait réellement qu'elle commence à comprendre que lorsqu'il voulait quelque chose, il l'avait. Et là, ce qu'il voulait, était qu'elle se fasse à l'idée qu'elle devait rembourser l'affront que par sa faute, une pièce de son hôtel se retrouvait souillée et que ça lui revenait d'en payer les frais. Après avoir pris quelques bouchées de son plat qui était, soit dit en passant, délicieux, il posa le regard autour et sourit en voyant le petit sac cadeau de lingerie Victoria Secret. ''N'hésite pas à essayer la lingerie, il parait que c'est confortable pour faire le ménage. Aussi bien rendre le tout un peu plus agréable'' Il lui affiche son plus beau sourire. Un sourire charmeur, un sourire enjôleur. Malgré les soucis qu'elle lui avait apporté, il gardait un bon souvenir de sa rencontre de la veille et ne se ferait pas prier pour recommencer. Par contre, rien avant d'avoir eu réellement ce qu'il voulait.
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Lun 19 Mai - 18:10
Les cliente est toujours Reine.
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*Une envie très puissante de lui mettre un poing dans sa petite gueule d'ange se fit ressentir chez la jeune femme. Elle ouvrit la bouche, frustrée et aussi agacée. Ce mec était plutôt du genre tenace et ça l'ennuyait fortement de se trouver en face de quelqu'un qui lui ressemblait sur ce point là. Quant elle voulait quelque chose, elle parvenait toujours à ses fins, de manière plus ou moins légales selon certains points de vue. Elle haussa les épaules et fit un geste négligé de la main.*
"Si c'est une question d'argent, il suffit de me donner l'ordre du chèque. Quant à votre histoire de suite inlouable, vous voulez me faire pleurer ? C'est pas si vous en aviez des centaines d'autres dans cet hôtel. Et j'y peux rien si cet abruti m'a prise pour cible, j'étais venue ici pour me détendre à la base et j'ai même pas eu le temps de tester le jacuzzi."
*C'était un demi mensonge. Elle n'était pas vraiment venu ici pour se détendre, mais elle n'avait pas testé le jacuzzi et ça la chagrinait. La jeune femme leva les yeux au ciel devant la phrase de l'employé, il devrait remballer sa langue, le filé de bave commençait à couler. Quoi qu'elle le comprenait, il tenait à son travail et défier le Bakersfield devant une cliente devait être cher payé. L'Alestra s'installa à son tour à table mais bizarrement, elle n'avait plus faim, même si le plat avait l'air délicieux. Elle se contentait de toucher les aliments du bout de sa fourchette. En vérité, la seule chose qui entra dans son estomac fut le vin. Qu'elle faillit recracher. S'étouffant à moitié, elle observa le directeur de l'hôtel, les yeux ronds. Puis sa tête tourna et son regard se posa sur le sac de lingerie des anges, intact. Oh, il voulait jouer ? Un léger sourire en coin se dessina sur son visage et elle mordit lentement la lèvre inférieure.*
"Non, ce serait tellement dommage d'abîmer de la lingerie comme ça. C'est plutôt réservé pour ... des moments plus ... intimes."
*Son pied remonta lentement le long de la jambe du brun avant de s'arrêter brusquement à mi-cuisse et le retirer complètement. Un petit sourire sur ses lèvres, elle tendit son verre à l'employé qui s'empressa de le remplir. Finalement, ça s'annonçait être plutôt intéressant, comme plan.*
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Adam H. Bakersfield
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Mar 20 Mai - 1:07
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D'un geste calme, tentant de garder son sang froid, il libéra un profond soupire. Son regard toujours sur son assiette, pour éviter de la fusiller du regard, il termina de mâcher et d'avaler le contenu de sa bouche. Il n'y avait plus de sarcasme ou même de plaisanterie dans le ton de sa voix. C'était calme, posé, mais tranchant à la fois ''J'en ai rien à foutre de ton argent. Et que ce soit une seule chambre d'inutilisable ou la moitié de mon hôtel, ça n'a aucune importance. On ne t'a jamais enseigné le respect? Il va falloir que tu comprennes que dans la vie, nos gestes ont des conséquences. Et la tienne t'a amené ici en ce moment et tu en es l'unique responsable. Un petit conseil, ne t'avise surtout pas de tenter de me prendre pour un imbécile à nouveau. Tu crois que je ne sais pas que tu n'as pas réservée cette chambre toi-même? Tu crois que je ne sais pas que quelqu'un t'a envoyé ici? Tu crois que je ne t'ai pas vu ce matin au restaurant à guetter l'arrivée de cet homme? Fais bien attention, Kendall Alestra.. j'aime pas qu'on sous-estime mes capacités et je supporte encore moins qu'on manque de respect à ma personne ou encore à ce qui m'appartient. Je veux que cette pièce revienne dans l'état qu'elle était avant ta venue chez moi''
Comme si rien était, le directeur reprend alors sa fourchette pour continuer à savourer son dîner. Il faisait comme s'il n'avait rien dit parce qu'il n'avait aucune envie d'entrer dans un débat interminable. Cette femme n'aimait pas être confronté et n'était pas du genre à abdiquer. Dans le cas présent, le message était passé et c'est tout ce qu'il voulait. Un petit sourire s'affiche au coin de ses lèvres en sentant sa jambre grimper contre la sienne. Elle était incroyable. Malgré toutes leurs mésaventures, elle lui faisait du charme. Comment résister? Il ne pouvait nier qu'elle était plus que ravissante et il se souvenait très bien du plaisir qu'il avait eu la veille en sa compagnie. ''C'est tout de même en la portant que tu risques de provoquer ce genre de moments. Pourquoi ne pas rendre l'utile à l'agréable. Je suis du genre à bien montrer ma gratitude quand j'ai ce que je veux..'' Inutile de dire qu'il n'avait pas l'intention de se laisser aller à une partie de jambes en l'air sans qu'elle ait démontré un minimum son intention de se plier à son exigence de remettre cette chambre en état. Dénouant un peu sa cravate, il termina son assiette tout en remerciant son employé. D'un geste sensuel, il s'étira de tout son long montrant fièrement les démarcations de ses muscles.
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Mar 20 Mai - 9:39
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*La poigne de la jeune femme sur sa fourchette se resserra. Le respect ? C'était ça pour lui, du respect ? Non, ça c'était simplement de l'orgueil, pas du respect. S'il tentait de dire à l'italienne qu'elle ne connaissait pas ces valeurs, il se trompait lourdement. Le respect, elle l'avait toujours connu, et pourtant, on le lui avait marqué au fer rouge le long de hanche pour que ça rentre bien. Ses yeux lancèrent des éclairs au directeur et elle ricana.*
"Tu crois que je sais pas ce que c'est le respect ? Tu crois que de là d'où je viens on me l'a pas apprit ? Nos gestes ont des conséquences, très bien, si c'est ce qui peut te faire plaisir, je vais la ranger t'as foutu chambre. Mais ne me prend pas de haut en me disant que je connais rien de la vie et que je ne sais pas ce que c'est de payer les conséquences de nos actes."
*Ça y est, il lui avait définitivement coupé l'appétit. Dépitée, elle posa la fourchette et l'éloigna l'assiette encore pleine. Un soupire très dramatique s'échappa de ses lèvres. La jeune femme en avait plus que marre qu'il se prenne pour un dieu juste parce qu'il avait monté un hôtel reconnu mondialement. La grosse tête n'était visiblement pas fait pour lui. Finissant le vin dans son verre, elle le reposa sur la table et hocha la tête quand l'employé voulut lui enlever son assiette. L'italienne posa son coude sur la table, et la tête contre son poing. *
"Oh mais moi aussi je suis du genre à être incline à remercier quand il le faut."
*Elle l'observa, dénoué sa cravate. Ah, l'enflure, il était beau à se damner et il le savait. Mais la jeune femme savait qu'elle aussi avait des atouts non négligeable. Seulement, elle n'allait pas les étaler maintenant, ç'aurait été trop facile. Elle se pencha légèrement au dessus de la table, comme si elle voulait confier un secret au directeur.*
"Et si on prenait le dessert plus tard ? Ça le rendait plus ... savoureux."
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Jeu 22 Mai - 0:17
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Inutile d'ajouter quoi que ce soit de plus. Tu venais de lui confirmer que tu allais faire ce qu'il demande, le reste lui importe peu. Qu'est-ce qu'il en avait à faire de savoir si tu avais bel et bien appris quelque chose de constructif au sein de ton groupe ou encore de quelle manière ils s'y prennent. Lui tout ce qu'il voulait c'était réparation et tu venais de le lui accorder, le reste n'avait aucune importance. Enfin, presque tout le reste. Parce que la partie où tu lui donnais envie de te plaquer contre le mur pour te prendre sauvagement, ça, elle avait de l'importance.
Il prit quelques bouchées de plus avant de faire signe à son employé de tout débarrasser. Le jeune homme semble plus que soulager de pouvoir partir de cette pièce. Il n'appréciait sans doute pas le malaise qu'il ressentait de se trouver au milieu d'une genre de dispute sans nécessairement en être une entre son patron et une demoiselle qui avait une bonne répartie. Il salua les deux avant de quitter la chambre avec son plateau roulant sans jeter un seul regard derrière. Pauvre petit.
''Un dessert me semblerait tout indiquer.. dommage que la pièce autour de nous ne soit pas en état pour qu'on puisse réellement savourer ce doux goût sucré d'une pâtisserie fine et délicate'' Évidemment, il ne parlait en aucun cas de nourriture. Il posait le regard sur toi et sa seule envie était de te voir te dénuder afin qu'il puisse embrasser et caresser cette peau incroyablement exquise dont il avait pu avoir un aperçu la veille. Cette envie devait sans doute se voir dans son regard qu'il ne détachait pas une seule seconde du corps posé devant lui. Lentement, tout naturellement, il se leva de table et retira sa chemise d'un geste faussement innocent ''Aussi bien se mettre à l'aise vu le temps que nous allons passer ici..'' Toujours naturellement, il se dirigea vers le balcon pour ouvrir les grande porte vitrée créant une aération dans la chambre. Quelques pas de plus, il alla appuyer ses mains contre la rambarde faisant en sorte que les muscles de son dos se pavanait sous tes yeux. Le directeur inspira profondément tout en admirant la vue. Le panorama de Los Angeles, ce qu'il considérait comme son royaume.
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Jeu 22 Mai - 14:43
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*Amusée par la situation dans un certain sens, elle se permit même de faire un petit geste de la main et un clin d'oeil au dénommée Julio avant qu'il ne tourne définitivement le dos. Le pauvre, il avait hâte de se barrer de cette pièce, et ça se ressentait. Dans un sens, elle le comprenait, dans l'autre, elle était satisfaite d'être enfin seule avec l'homme d'affaire. Elle l'observa fermer la porte et son attention se reposa sur le Bakersfield. Un léger sourire en coin naquit sur ses lèvres. Il était vraiment obséder par la propreté de la chambre, un manique refoulé peut-être ?
Toujours est-il que ce salop en profita pour enlever sa chemise sous les yeux de l'italienne qui ne manqua pas une miette du spectacle. Il savait s'y prendre, mais elle aussi. Ne bougeant pas de sa place, elle l'observa sortir sur le balcon et se mordit la lèvre inférieure devant la musculature parfaite de son dos. La brunette avait terriblement envie d'y planter ses ongles, mais cela n'aurait eu l'effet que de lui faire plaisir. Oh non, Kendall n'était pas du genre à ne faire qu'en demi mesure. Discrètement, elle se leva de table pour attraper la chemise tombée à terre du bout des doigts et saisit le sac de lingerie Victoria Secret. Se faufilant dans la salle de bain, elle se dénuda complètement pour passer l'ensemble de la lingerie. S'observant dans le miroir, elle se dit que le bougre avait du goût et le suspectait d'être un expert en matière par rapport à ce genre de cadeau. Soit il avait un oeil très affuté, soit il en avait l'habitude, parce que pour connaître la taille exacte de la jeune femme alors qu'ils n'avaient couché ensemble qu'une fois, et encore c'était rapide, c'était plutôt gros. Mais soit, elle s'en foutait, elle aimait l'ensemble. Pour compléter sa tenue, elle revêtu la chemise que le brun avait quitté quelques instants plus tôt et ne boutonna que jusqu'à sa poitrine, laissant ainsi apparent un bout de son soutient gorge en dentelle. Satisfaite de son apparence, elle sortit de la salle de bain et vint se poster dans l'encadrement de la baie vitrée, un regard plus qu'appréciateur sur le dos du Bakersfield et de ses fesses parfaitement bien mises en valeur dans son pantalon.*
"Alors ... Par quoi je commence Monsieur ?"
*Une petite lueur malicieuse traversa son regard et elle mit une main sur sa hanche de manière à cambrer parfaitement son dos pour mettre en valeur sa poitrine.*
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Adam H. Bakersfield
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Jeu 22 Mai - 22:28
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Quelle vue magnifique. Quand il regardait vers le bas, il pouvait voir la fourmillière géante s'afférer à mener leur vie rapidement, comme si leur vie en dépendant. Tout le monde toujours pressé, sans jamais profiter. Adam profitait. Il s'accaparait ce qui lui était du et profitait de son acquis. Il avait bossé dur pour avoir ce qu'il avait aujourd'hui. Pourtant, il prenait son temps. C'était bien plus agréable de regarder les autres se tuer à la tâche dans l'espérance d'un seul sourire d'approbation de la part du grand Bakersfield. Un sourire en coin apparu sur son visage à cette pensée quand une voix avec un accent et une tonalité des plus sensuelle le sortie de ses songes ''Pourquoi ne pas commencer par jeter tout ce qui..'' L'homme d'affaire c'était lentement tourné en parlant, mais se figea l'espace d'une seconde sous le spectacle qui s'offrait à ses yeux. Un corps de rêve, vêtu d'une lingerie de rêve, recouverte d'une chemise qui lui donnait une allure des plus désirable. Son désir en cet instant était palpable ''est brisé et inutilisable..''
Lentement, il posa ses coudes contre la rambarde tout en la dévorant du regard. Si seulement elle avait la moindre idée de ce que sa provocation lui faisait comme effet. Si elle continuait ainsi, avant même de se rendre compte de ce qui lui arrive, elle risque de se retrouver à poil en train de se faire prendre bestialement. Malgré tout, le directeur était un homme de parole et il ne céderait pas avant qu'elle ait commencé à rétablir la chambre. C'était par principe et il n'y dérogeait que par mesure extrême, ce qui n'était pas le cas. Même si c'était loin d'être ce qu'il avait réellement envie, il se redressa, puis d'un air indifférent, il se dirigea vers elle pour rentrer dans la chambre, mais passa à son côté sans lui porter la moindre attention.
Une fois rentré, avant qu'elle ne puisse se retourner, il fit volte face et se plaqua contre son dos. Ses mains viennent la serrer contre lui en se glissant autour de sa taille. Dans un souffle de désir, il vient lui mordiller le lobe ''Ma chemise.. je te l'offre'' L'une de ses mains se glisse vers le haut venant empoigner solidement un de ses seins. L'autre, descend vers le bas et se glisse sous sa petite culotte venant directement caresser vigoureusement son bouton de plaisir. À peine quelques secondes, juste assez pour l'exciter au maximum et la relâche. Toujours comme si rien était, il retourne sur le canapé, prenant ses aises avec les bras allongés sur le dossier ''Et un coup d'aspiration aussi ça serait bien..''
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Ven 23 Mai - 10:05
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*Fière, oui, c'était l'état de l'italienne en cet instant. Elle avait bien vu que sa petite mise en scène avait fait son effet. Même s'il ne l'avouerait jamais. D'ailleurs, elle ne se priva pas pour afficher un petit sourire de vainqueur. Non, d'habitude, elle n'agissait pas comme ça, ce n'était pas le genre de femme à se faire désirer de la sorte. Soit on la voulait, soit on ne la voulait pas. L'Alestra n'était pas du genre à faire tout un patacaisse pour un homme, sauf s'il s'agissait du Bakersfield. Parce qu'elle aimait jouer avec lui comme lui se jouait d'elle. Surtout que de l'avoir vu dans une autre peau or celle de directeur de l'hôtel le rendait encore plus sexy. Un léger sourire se dessina lorsqu'il passa à côté d'elle, feignant de l'ignorer.
Oh non, il ne l'avait pas vraiment ignoré. Un léger hoquet de surprise s'échappa de ses lèvres lorsqu'elle se sentit plaquée contre son torse. Mais bien vite, cela se transforma en légers gémissements lorsque les mains du brun s'enroulèrent autour de ses hanches et qu'elle sentit ses dents. Un léger sourire en coin naquit sur ses lèvres devant son cadeau. Mhh, il ne fallait prendre ça à la légère, elle allait vraiment la garder, cette chemise. Elle plaqua sa tête contre l'épaule du Bakersfield en sentant sa poigne sur son sein. C'était douloureusement bon, et un grognement rauque sortit de sa gorge. Mais le pire fut lorsqu'elle sentit ses doigts sur son intimité, la titillant. Immédiatement, la brunette se sentit humide et brûlante et de légers soupires de satisfaction. Mais cela ne dura pas bien longtemps. Lorsqu'il partit, la jeune femme dû se tenir à l'encadrement de la porte vitrée pour ne pas défaillir. D'accord, elle l'avait cherché, mais elle ne s'avouait pas vaincue, loin de là. Elle lui jeta un coup d'oeil rapide et sortit quelques instants sur le balcon, histoire de reprendre ses esprits. L'italienne huma un grand coup d'air, observa la ville quelques instants et retourna à l'intérieur de la chambre, l'air de rien. Enfin presque, sa culotte était maintenant humide et elle sentait encore l'effet que l'homme lui avait prodigué juste avant. Se glissant derrière le canapé, elle s'abaissa pour sa bouche touche l'oreille du brun.*
"Laquelle, d'aspiration ?"
*L'air de rien, elle recula et passa devant l'homme sans le calculer pour se rendre dans la salle de bain. La porte grande ouverte et sous les yeux du brun, elle prit un élastique et s'attacha les cheveux en queue de cheval. En levant les bras, elle leva également la chemise, laissant apercevoir nettement sa culotte. Ensuite, elle retourna dans la chambre et retroussa les manches jusqu'à ses coudes, beaucoup plus pratique, et elle se mit à la tâche. Heureusement pour elle, il n'y avait en vérité, pas grand chose à faire. Simplement jeter des objets brisés et remettre debout des chaises, des cadres, des décorations.
A l'entrée, un miroir avait été à moitié brisé et elle fit attention de ne pas se couper. Elle en profita pour regrouper le peu d'affaire qu'elle avait emmené. Ainsi, elle manqua de piquer un fard en apercevant son livre avec les pages cornées. D'un geste protecteur, elle le colla contre sa poitrine et continua de ramasser les objets. Oh, mais elle ne se baissait pas de n'importe quelle manière. Elle faisait en sorte que le Bakersfield ait une vue très jolie vue sur ses fesses. Ça n'aurait pas été marrant sinon.
Un peu plus tard, sa tâche était terminée. Kendall jeta un coup d'oeil à la pièce et souffla sur une mèche qui était venue se poser devant ses yeux. La jeune femme se plaça devant Adam et l'observa d'un air sérieux. Mimant un geste d'éventail avec sa main, elle haussa légèrement un sourcil.*
"Il fait chaud ici, non ?"
*Joignant la parole au geste, elle déboutonna lentement la chemise. Arrivée au dernier bouton, elle entrouvrit le bout de tissu, laissant à la vue du brun son corps et la lingerie qu'il lui avait offerte. S'avançant vers lui, elle se mit à moitié en califourchon sur lui et posa ses mains à côté de sa tête, sur le dossier du canapé. Ses yeux se plantèrent dans les siens et sa bouche s'apprêtait à toucher la sienne quand elle s'arrête net et se recula. Le lit n'avait pas été totalement bien refait, et elle se dirigea donc vers lui, et remit les draps et le coussins correctement. L'idée de s'y allonger la traversa un instant.*
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Adam H. Bakersfield
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Sam 24 Mai - 1:05
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Voyant qu'elle se rendait sur le balcon, le directeur sourit en coin. Besoin de prendre l'air la miss? L'homme d'affaire porta ses doigts humides à ses lèvres. La femme, le goût le plus exquis qui soit. Il soupira d'aise en fermant les yeux et les rouvrit uniquement une fois qu'il senti la présence de la belle dans son dos. Elle voulait jouer, c'était évident. Après toute les complications qu'elle lui avait causé depuis le début de la journée, c'était bien la moindre des choses qu'elle lui offre son corps. Tant qu'à parler d'aspiration, espérons qu'elle sache s'y prendre.
Oh la sal*** ! Le jeune homme ne rate pas rien de son petit manège dans la salle de bain. C'est dingue comment elle peut être sexy. Bien plus qu'une grande partie des employées de son empire secret. S'il ne se retenait pas, il lui arracherait tout le tissu qu'elle a sur le corps. Mais après ça, il serait plus difficile de la convaincre de faire le ménage de la pièce.
Adam ne la quitte pas des yeux. Tout au long qu'elle ramasse les déchets un peu partout, il ne loupe absolument rien du spectacle. D'une part, son sentiment de supériorité est comblée de la voir faire ce qu'il exigeait d'elle et d'une autre, ça ne devrait pas être permis d'avoir un cul comme le sien. Plus d'une fois, il se tortille le bassin dans le canapé subtilement parce qu'il se sentait de plus en plus à l'étroit dans son pantalon.
Non, mais elle fait vraiment exprès. Évidemment qu'il fait chaud dans la chambre avec une femme en chaleur comme elle. Les yeux du jeune homme bavent littéralement sous le corps parfait de l'italienne. Bon, ça suffit pour le moment, au diable le ménage. Après tout, ce n'est pas pour lui faire plaisir à elle, mais à lui. Ce n'est donc pas considéré comme flancher. La lingerie avait été faite pour elle, il n'y avait aucun doute la dessus. Les mains du Bakersfield se posèrent sur la taille de la demoiselle qu'il s'apprêtait à embrasser avant que celle-ci ne se lève pour aller placer les draps du lit. ''Inutile de faire ça..'' Après tout, à quoi bon refaire le lit quand celui-ci allait être sans dessus dessous dans quelques minutes?
Sans plus attendre, d'un air plus que confiant, le directeur se leva du canapé et fit un bond pour passer par dessus habilement sans prendre la peine de le contourner. À peine cinq secondes plus tard, il se retrouva derrière elle pour la prendre solidement contre lui. Immédiatement, il s'empara de son cou avec ses lèvres en soupirant avec désir contre son oreille ''T'aurais pas du me chauffer autant..'' Sa voix était grave, chaude, envoutante. D'un geste rapide, il défait son soutif pour venir prendre sa poitrine. Un sein dans chaque main. Il presse, masse et grogne d'envie. Son membre durcit se plaque contre ses fesses. Ses mains descendent en duo pour caresser la peau douce de son ventre ''Tu vas avoir une bonne raison d'avoir chaud..'' Il retire une main pour venir défaire son pantalon et le fait glisser le long de ses jambes et le balance au loin avec un coup de pied. Déjà, son autre main se faufilait à l'intérieur de sa culotte pour venir la titiller avec aisance. Une fois son boxer aussi au sol, il empoigne son membre pour venir caresser son intimité par derrière au travers le tissu. Il se retenait pour ne pas la pénétrer sauvagement dans l'immédiat. Il préférait la rendre complètement folle d'excitation avant.
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Sam 24 Mai - 15:03
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*Un fin sourire se dessina sur ses lèvres lorsque l'italienne le vit passer par dessus le canapé. Elle ne put se retenir de pousser un gémissement lorsqu'elle se sentit plaquer contre son torse. La tonalité de sa voix était telle qu'elle rendait la petite culotte de l'Alestra humide. Le contact de ses lèvres contre sa peau la fit frisonner. Un cri de plaisir la saisit lorsque les mains expertes du directeur vinrent s'occuper de ses seins. Immédiatement et sous l'effet de ses caresses, elle sent ses mamelons se durcirent et est obligée de serrer les jambes pour tenter de calmer le flux qui s'échappe de son entre. Calant sa tête contre son épaule, elle fit passer une de ses mains dans la nuque de Bakersfield pendant qu'une autre se pose sur son avant-bras qui entame une descente le long de son corps. Même à travers son pantalon, la jeune femme sent l'excitation du brun et elle ne peut s'empêcher de passer sa langue sur ses lèvres.
Un gémissement s'échappa de ses lèvres et elle resserra la prise sur son avant-bras lorsqu'elle sentit ses doigts frôler son intimité, provoquant immédiatement une vague de plaisir intense chez la brune. D'un geste rapide de la main, elle fait descendre la culotte à ses pieds, inutile d'en bousiller une autre. Il lui fallu une bonne dose de volonté pour se décoller et faire stopper les caresses de l'homme. La jeune femme se mit face à lui et d'un geste brusque elle enleva l'élastique retenant ses cheveux, les faisant ainsi tomber en cascade sur ses épaules. Ensuite, elle posa ses mains sur son torse. L'une monta doucement jusqu'à son épaule qu'elle massa doucement avant de se poser sur sa nuque, tandis que l'autre descendit et vint doucement caresser ses fesses. Sans plus de cérémonie, elle tira légèrement sur sa nuque pour qu'il se baisse un peu alors qu'elle se mettait sur la pointe des pieds pour saisir ardemment ses lèvres contre les siennes. Lorsque sa langue trouva la sienne, une danse endiablée commença. Lorsque l'italienne fut à bout de souffle, elle se recula légèrement jusqu'à ce que ces jambes touchent le bord de lit, et elle y monta et s'installa sur les genoux. Elle prit une de ses mains dans la sienne, l'invitant à s'approcher d'elle, plaquant ainsi sa poitrine contre son torse. Kendall était terriblement excitée et elle sentait qu'il pouvait en faire d'avantage. Au lieu de lâcher sa main normalement, elle la posa entre ses jambes, sur son sexe humide, l'invitant à continuer ses caresses. De nouveau à ce contact, elle gémit et envoya légèrement sa tête en arrière. Reprenant ses esprits, elle replongea ses prunelles dans celles si hypnotisantes du Bakersfield et jeta un coup d'oeil à son membre, fièrement dressé. Son autre main commença son ascension vers lui et ses doigts le frôlèrent du bout de doigts. Mais l'Alestra se rappela la veille qu'il n'avait pas trop l'air d'aimer qu'on prenne des initiatives pour lui, alors elle leva les yeux vers lui, lui posant la question silencieusement. Elle en avait terriblement envie, elle voulait le faire jouir de ses mains, et pourquoi pas de sa bouche, si l'occasion de présentait. Oh, ce qui était sûre, c'est qu'avec le directeur de l'hôtel, elle devenait une vraie dévergondée. *
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Adam H. Bakersfield
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Mer 28 Mai - 23:10
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Elle est chaude, elle est même bouillante la petite italienne. Une braise qui la consume et qui appelle au désir, à la perversion. Il pouvait sentir le corps de la belle réagir à la moindre de ses caresses, au moindre de ses contacts. C'était plus que délicieux de la sentir ainsi sous ses mains. Il devait se faire violence pour ne pas la prendre là maintenant. Elle était si désirable et ça se voyait clairement à son entre-jambe qui lui faisait mal tellement son érection était forte.
Elle se tourne, se colle contre lui, le caresse. Il la laissait faire. C'était bon. Un sourire en coin provocateur ne quittait pas ses lèvres. Il la regardait faire, sachant que c'était légitime de lui laisser un temps de répit, un temps qu'elle puisse profiter d'une certaine douceur avant qu'il ne puisse plus se retenir et dégage toute sa puissance sur son petit corps frêle. Qu'elle ne le veule ou non, c'est précisément ce qui va arriver. Ce n'est qu'une question de minutes. Sans se faire prier. guidée par sa fine main, il plonge la sienne à nouveau dans son antre humide et excitée. Un doigts, puis un deuxième. Son pouce titillait son clitoris pendant que maintenant trois doigts s’affairaient à caresser ses parois intérieures.
Quand sa main se pose sur son sexe durcit et que son regard le suppliait presque de la laisser continuer, il libéra un léger grognement d'envie. Il accéléra le mouvement en elle en guise d'approbation se collant un peu plus contre le corps de la belle qui était, à son avis, beaucoup trop loin du sien. Sauvagement, le directeur de l'hôtel vient prendre les lèvres de la jeune femme tout en s'allongeant lentement sur elle. Il s'appuya sur son avant-bras libre pour laisser assez d'espace entre eux afin qu'elle puisse continuer son habile jeu de main contre son sexe pendant qu'il continuait de la pénétrer de ses doigts. Sans jamais cesser de l'embrasser, il soupirait d'envie contre ses lèvres en ondulant sensuellement son corps contre le sien. Par moment, il sortait ses doigts pour aller caresser son anus qui se trouvait à proximité. Les doigts humide de son excitation, il lubrifiait légèrement l'antre de son anus sans pour autant le pénétrer. Pas encore du moins. Il retourne à son intimité reprendre le même manège et alterne quelques fois avant de finalement insérer un doigts dans l'anus de la jeune mafieuse en grognant de plaisir.
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Dim 15 Juin - 8:14
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Kendall ft. Adam.
*Sentant les doigts du brun en elle, la tête de l'italienne bascula dangereusement en arrière, un soupire de satisfaction s'échappant de ses lèvres. Sa main libre s'agrippa à ses cheveux pour se retenir et la poigne sur son sexe se renforça. Un sourire se glisse sur ses lèvres lorsque le Bakersfield vint l'embrasser avec ... fougue ? Si on peut appeler ça comme ça, disons plutôt, sauvagerie. Mais ça lui plait, à l'Alestra. Lorsque sa tête toucha le matelas, elle recommença ses longs vas et viens le long de son membre, alternant gémissements de plaisirs et concentration. Kendall avait du mal à contenir le plaisir qu'elle ressentait et cela était largement visible à l'humidité de son entre. Les doigts du directeur lui faisait des choses à en faire rougir n'importe qui. Pourtant quant elle sentit qu'un de ses doigts s'égara devant son anus, elle fronça les sourcils. Qu'était-il entrain de faire ? Mais elle ne se focalisa pas la dessus, voulant le sentir exploser dans sa main. C'était ce qui allait se passer, normalement. Mais c'était aussi à se moment là qu'elle sentit un doigt dans son anus.
L'italienne ne put retenir un petit cri de surprise. C'était assez étrange, comme sensation, mais ça n'était pas totalement désagréable. Pourtant, l'italienne avait envie de plus. Sa main libre vint se placer dans les cheveux du brun et les agrippa fortement pour venir coller encore plus ses lèvres contre les siennes. Au bout d'un moment et après avoir prit une grande inspiration, la brunette fit une légère impulsion et réussit à se mettre dessus le Bakersfield. Elle n'avait pas vraiment dans l'optique de le dominer ou quoi que ce soit, non, elle voulait simplement prendre son pied, voilà tout.
Ses lèvres quittèrent les siennes et vinrent frôler le long de sa mâchoire, puis descendit le long de son cou, son torse, son ventre ... Finalement, elles arrivèrent sur son bas ventre et la jeune mafieuse prit le temps de parsemer cet endroit de baisers et de mordiller légèrement sa peau. Ses mains se calèrent sur ses cuisses et sans formalité, elle saisit le membre du brun dans sa bouche. La brune commença de long vas et viens langoureux et sensuels, enfonçant par la même occasion ses ongles dans la peau de ses jambes. De temps en temps, ses dents venaient mordiller son sexe pour faire un peu plus monter la pression.*
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Adam H. Bakersfield
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Ven 20 Juin - 21:59
Les cliente est toujours Reine.
Kendall ft. Adam.
Tout orifice était bon à prendre pour le jeune homme, mais impossible de nier que plus c'est chaud et étroit, plus la sensation est intense. Du moins, pour celui qui s'infiltre. Malgré le petit cris de surprise, il n'arrêta pas son manège, au contraire, ça l'excitait encore plus. De toute évidence, cette région n'avait encore jamais été visité et elle ne semblait pas totalement contre ce qui fit grimper de quelques degré la canicule dans la pièce. C'est qu'elle a les mains habiles la petite.
De petits grognements rauques se faisaient entendre. De petits grognements de plaisir qui se transformèrent en grognements de d'insatisfaction quand tu prends le dessus sur lui. Pas parce que tu te retrouvais au dessus, non, parce qu'il n'avait plus accès à ton intimité plus humide de jamais. C'était son petit plaisir personnel. Il adorait sentir une femme s'humidifier à son contact, signe de son excitation non dissimulé. Il aurait eu envie d'aller tout lécher pour mieux recommencer, mais tu avais pris les devant et ça ne lui déplaisait pas non plus de sentir tes lèvres pulpeuses contre sa peau. Tes ongles sur ses cuisses le fit frémir de tout son long.
Un sourire en coin, il regardait le moindre de tes mouvements, glissant une main dans tes cheveux pour accentuer la pression que tu mettais contre sa verge durcit préalablement par tes mains. ''Hmm.. oui.. vas-y..'' Il ajouta des mouvements de bassin. Il jubilait de voir son membre disparaître entre tes lèvres et gémit sentant tes dents s'ajouter à la danse. Il allait de plus en plus cite jusqu'à sentir une jouissance proche. Si proche qu'elle éclata dans un profond râle et un coup de rein un peu plus fort que les précédents. Ce n'était que le début, il ne comptait certainement pas s'arrêter là.
De suite, il te tira vers lui pour venir t'embrasser tout aussi fougueusement qu'au début. Il voulait posséder ton corps avec ardeur. D'un geste rapide, il se retrouva au dessus de toi, tenant tes poignets de chaque côté de ta tête et plongea son regard dans le tien avec un sourire rempli de désir. Il libéra tes mains pour venir caresser la douceur de ta peau et descendre ses baisers jusqu'à ta poitrine dont il prend avidement possession. Sa bouche se rend jusqu'à ton ventre pendant qu'une de ses mains soulève ta jambe pour venir l'appuyer contre son épaule tout en se redressant. Il pose ses lèvres sur ta cheville et descend ses mordillements et ses léchouilles le long de ta jambe passant par l'intérieur de ta cuisse pour terminer sa course contre ton clitoris qu'il titille en gémissement.
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Mer 6 Aoû - 15:02
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*Incontestablement la chaleur de la pièce avait augmenté de plusieurs degrés. La poitrine de l'italienne se soulevait avec difficulté tant elle avait du mal à avoir une respiration normale entre ses montées de plaisirs. Et elle n'avait pas non plus le temps de récupérer. A peine eut-elle le temps d'avaler la semence du jeune homme qu'elle se retrouvait de nouveau sous lui, sous ses lèvres. D'ailleurs, un sourire se dessina pendant leur petit échange visuel. Peut-être avaient-ils enfin trouvé un terrain d'entente, et ou ils n'avaient pas besoin de démontrer leur supériorité à l'autre. Quoi que ...
Son corps fut parcourut de frissons devant les nouvelles caresses de l'homme d'affaires. Il n'y avait pas à dire, il avait des mains en or, et savait très bien comment s'y prendre pour faire perdre la tête aux femmes. Ses lèvres quittèrent les siennes bien au trop tôt au goût de l'italienne, mais elle ne put se retenir de soupirer bruyamment tout le long de ses baisers. Et avant même de savoir où il comptait s'arrêter, un gémissement s'échappa nouveau d'entre ses lèvres. Le énième en même pas une heure. Sa main droite agrippa la chevelure du brun tandis que l'autre n'avait pas bougé, et était toujours échouée au dessus de sa tête. Lorsque le brun lui souleva la jambe, Kendall ne mit pas longtemps avant de comprendre ce qu'il comptait faire, et un brasier sans nom prit place au bas de son ventre. Elle ne put s'empêcher de gémir par avance et de resserrer la poigne de ses deux mains. L'une dans des cheveux, l'autre dans le drap du lit.
Impatiente, la jeune femme se tortilla doucement pour tenter de faire accélérer l'homme, et lorsqu'elle sentit enfin ses lèvres contre son intimité, elle se cambra vivement, les yeux fermés par l'extase qui consumait son corps. De longs râles sortaient de sa gorge et la tête lui tournait avec toutes ses émotions qui se bousculaient. Adam Bakersfield était un homme pleins de ressources et de talents cachés, dont l'un venait de se dévoiler. Si elle avait su, l'Alestra serait venue bien plus tôt dans cet hôtel.
Plongeant dans un orgasme inouïe, le dos de l'italienne s'arqua et la prise de ses jambes se resserra autour des épaules du Bakersfield. Mais c'était bien loin d'être fini. A son tour de reprendre les choses en main. Ses jambes retrouvèrent leur place initiale, c'est à dire de part et d'autre du corps d'Adam, et elle se pencha en avant, de manière à rejoindre le brun sans qu'il est à bouger. Doucement, elle fit courir sa bouche le long de sa mâchoire avant de prendre avidement possession de ses lèvres. S'arrêtant pour reprendre sa respiration, elle ancra son regard dans celui du directeur de l'hôtel, une moue innocente sur le visage. L'air de l'air, elle dégagea une mèche brune qui était venue barrer le front du Bakersfield et continua de faire courir son doigt le long de son visage pour venir caresser ses lèvres 'chastement'. L'italienne se mordit de manière très équivoque la lèvre inférieure et donna un léger coup de rein pour coller encore plus son corps contre celui du jeune homme.*
"Il est temps de passer aux choses sérieuses ... Qu'est-ce que tu en penses ?"
*Le souvenir de leur échange le jour d'avant était toujours très présent dans l'esprit de la mafieuse, et elle mentirait si elle disait qu'elle n'avait pas hâte de nouveau la fougue du brun en elle.*
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Adam H. Bakersfield
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Sujet: Re: La cliente est toujours Reine. Jeu 28 Aoû - 2:36
Les cliente est toujours Reine.
Kendall ft. Adam.
Y'a t'il quelque chose de plus divin que de tenir entre ses bras le corps tremblant de braise d'une jeune femme qui se donne ouvertement et se laisse posséder par le plaisir le plus primitif qui soit ? Pas aux yeux du Bakersfield qui libère grognement par dessus grognement tellement le moment était parfait. À peine touche-t-il le bouton de plaisir de la demoiselle que celle-ci se cambre dans un râle démonstratif. De toute évidence, elle prenait son pied et c'était précisément le but du directeur qui savait pertinemment qu'elle lui rendrait la pareille, comme une bonne petite salope le ferait. Faut pas se mentir, elle était loin d'être innocente et chaste.
Ses longues jambes interminables entourent la taille de l'homme d'affaire qui en profite pour glisser ses mains contre ses fesses bien rondes afin de la maintenir étroitement contre lui. Sa verge bien dressée frôle son intimité et alimentent d'autant plus son désir de la prendre sauvagement. Répondant avec tout autant de passion aux baisers, il s'amuse à provoquer tout autant du regard qu'elle le faisait. C'est qu'elle aimait jouer la petite et ça il l'avait su à la seconde où il avait posé les yeux sur elle. ''Je commençais à désespérer que tu le proposes'' La tenant fermement par les fesses, il se redresse juste assez pour la pénétrer d'un coup habile et bien profond ce qui lui tire un râle presque animal. Il entame un puissant va et vient frémissant sous l'humide chaleur qui caresse son membre. Possessivement, il remonte ses mains dans le dos de la belle pour la plaquer solidement contre lui et finit son ascension posant ses mains sur ses épaules, toujours du côté de son dos. Ainsi, il appuyait fortement pour la faire descendre contre lui quand lui montait vers le haut. Un mélange parfait pour accentuer l'extase de ce plaisir.
Il embrassait, plutôt dévorait la peau lisse de son cou, de sa mâchoire. Il jubile à déguster chaque parcelle de peau qu'il pouvait atteindre, sans jamais diminuer la cadence. Bien au contraire, il ne faisait qu'augmenter la vitesse et la force de ses coups de reins, de même que ses gémissements. Cette petite mafieuse allait se souvenir longtemps de son passage à l'Olympe.