Je fais partie des Hors-la-Loi
Personnage: Poste Vacant Scénario Inventé

"A man who won't die for something is not fit to live"
Martin Luther King, Jr

Description physique Je n'ai pas de cicatrices apparentes, parce que personne ne m'a jamais attrapé encore. Les tatouages ne sont pas plus mon truc, ils permettent d'identifier quelqu'un bien trop facilement, surtout pour quelqu'un comme moi, qui doit garder l'anonymat. Je change souvent de coupe de cheveux, la seule chose qui reste constante étant leur couleur, blond.

Caractère Sadique. Oui, je crois bien pouvoir me définir par ce mot. J'aime mon métier, j'aime faire souffrir les gens. Ou simplement les tuer. Je suis impatient et colérique, violent et agressif. Pour ce qui est de mes qualités, je ne sais même pas si j'en ai, en dehors de mon talent au tir, au combat et en torture. Je ne crois pas non plus que celles-ci puissent être considérées comme des "qualités", moralement parlant.

Liam Collins

Je suis né il y a 25 ans d'une prostituée accro au crack. Il y avait neuf mois de cela, elle avait payé son dealer en nature, puisqu'elle n'avait pas l'argent pour rembourser ses dettes. Je venu au monde grâce à cette union. Bien entendu, ma mère ne s'est pas assagie parce qu'elle avait un gosse. loin de là.

J'ai vécu dans le milieu de la drogue et de la prostitution, j'ai vu les ravages que ces deux choses causent autour d'elles. Pourtant, cela ne m'a pas empêché de devenir dealer à mon tour quand on me l'a proposé. Je vivais en plein Bronx, j'avais besoin d'argent et on m'offrait un job avec lequel j'étais assuré de faire énormément de pognon. Et puis, qui aurait soupçonné un gosse de douze ans de traffic de stupéfiants ? J'étais jeune et stupide. Je n'allais pas à l'école, car ma mère pensait qu'il était plus utile que je reste à la maison pour l'aider à faire de l'argent. Je commençai à l'aider en lui trouvant des clients tout en vendant de la cokaïne. J'avais toujours une arme sur moi et je savais m'en servir. Drake, qui était mon fournisseur ainsi que celui qui me supervisait, m'avait apprit à me servir d'une arme à feu. Ayant commencé très jeune, j'étais très bon. Jamais, je ne ratais une cible. Ma mère et Drake m'ont très rapidement enseigné à être froid et sans pitié, je n'ai, de toute façon, j'aimais connu l'amour et l'affection.

J'arrêtai de vendre de la drogue vers mes dix-sept ans. On avait d'autres projets pour moi. J'étais déjà très malin, furtif et je visais comme personne. Drake m'apprit le métier de tueur à gages. Il n'eu pas grand chose à m'apprendre, puisque je m'y connaissais déjà en meurtre. Il me présenta de plus gros calibres d'armes et m'envoya sur le terrain, seul pour ma première mission. Je devais descendre un drogué qui refusait de payer, sans me faire remarquer et rentrer avec une preuve de l'accomplissement de ma mission.

Je partis trois jours. Les deux premiers jours, j'appris à connaître ma proie en la suivant dans tous ces déplacements. Le troisième, de nuit, je m'installai sur un toit et tuai l'homme à distance, d'une balle directement logée dans la tête. Comme j'étais muni d'un silencieux, je n'avais alerté personne. Je savais aussi qu'il n'y avait pas de caméras de sécurités dans le coin, pour avoir déjà vérifié. Je descendis du toit, sortit l'apareil photo que j'avais amené avec moi et imprimai le cadavre dans la mémoire de l'apareil numérique. Je rentrai chez moi, fier comme un paon et satisfait de mon travail. J'adorais déjà ce métier et je ne venais que d'y tremper un orteil.

Drake me donna de plus en plus de missions et, vers l'aube de mes vingt ans, je devenu indépendant. Je trouvais mes propres contrats, les exécutais et récoltais la prime au complet. En fait, je n'avais presque pas besoin de chercher mes contrats, j'étais déjà très célèbres dans les quartiers sombres de New York et les clients affluaient d'eux même. Au bout de quatre longues années, je me fatiguai de cette ville, de ma sal*pe de mère et de ses amis. En plus, je m'étais fait un peu trop remarquer dans les dernières semaines. Je décidai de partir. De toute façon, j'avais une dizaine de contrats qui m'attendaient ailleurs, dans une ville cent fois mieux, Los Angeles.