Je fais partie des Mafia
Personnage: Poste Vacant Scénario Inventé

"Hé ! Boule de gomme, s'r'ait tu d'v'nu un homme ? "
de Jean-Pierre Ferland

Description physique Mack adore les pirates. La plupart des tatouages qui envahissent ses bras représentent des scènes en mer. Hirondelles sur les deux bras (signe de retour au port pour les marins après avoir survécu à de nombreux milles, et donc de nombreuses épreuves), cœur avec des ailes, percé d’une ancre de marins, étoiles. Son tatouage sur le bras droit, représente un enfant assis sur une ancre au milieu de flots déchaînés, en compagnie d’un ours en peluche avec un bandeau de pirate, et portant une bouteille avec l’inscription “drink me” : Alice au pays des pirates.

Caractère Sociable et discrète, est ce possible ? Bien sûr. Je ne veux pas dire par ''discrète'' que dans une foule on ne la remarque pas, bien au contraire ! Je veux plutôt dire que jamais un secret elle ne le révélera. J'aurais plutôt dût dire loyale. Loyale envers ses amis, ses ennemis, sa famille, tout le monde. Bien qu'elle fait parti de la mafia, l'injustice, ça lui pue au nez.

Loralee Mackenzy Haway

Mackenzy est née, puis abandonnée. C'est triste, n'est-ce pas ? Elle ne connait pas ses vrais parents, et la famille dans laquelle elle fut envoyée .. Elle aurait encore préférée être morte en naissant, que de vivre sa vie comme elle la vivait. Quoi que, elle avait sa soeur jumelle, Loralee.

Tout allait bien jusqu'à ce qu'elle atteigne l'âge de trois ans, là sa mère adoptive mourut d'un grave accident de voiture, les petites étaient dans la voiture mais elles s'en sortirent indemne, retrouvées sous le corps sans vie de leur mère adoptive : elle s'était sacrifiée pour les enfants. L'époux, accablé par le chagrin, mettait la faute de la mort de l'amour de sa vie sur les jumelles, et c'est donc à trois ans que leur père se mit à les maltraiter. D'abord il ne les nourrissait que très peu, puis rapidement vint l'enfermement dans les placards, l'empêchement de dormir, le ménage, la vaisselle et toutes les tâches ménagère qu'elles devaient régler toute seules. Elles n'avaient que trois ans, elles auraient dû s'amuser à la poupée, jouer aux Barbies, et non pas servir de Cendrillon. Et encore, Cendrillon -elles ne savaient même pas qui était-ce!- était mieux traitée que nos soeurs.

Elles ne connurent pas d'autres enfance, leurs vies était malmenée par l'école, le ménage, leur père. Lorsque les filles se mirent à grandir et leur beauté à s'épanouir, leur père adoptif en demanda encore plus, autrement cette fois. Il se mettait à les frapper et à abuser sexuellement d'elles ; elles trouvaient cela normal, étant donné qu'elles ne connaissaient pas d'autre méthode de vie. Mais, lorsqu'elles entendaient leurs copines de l'école parler de leur famille, elles comprirent que quelque chose clochait, que ce qu'elles faisaient avec leur père était mal, et elles se sentirent sales, très sales. Les années passaient, et l'horreur de leur maison grandissait aussi. Elles n'avaient plus que la peau sur les os, leurs vêtements étaient tous trop petits, leur corps étaient recouverts de bleus, d'entailles et de brûlures de cigarette, et ils servait de distraction sexuelle à leur père.

Le pire était encore à venir, elles avaient seize ans lorsque que leur père, ayant des problèmes d'argent, ne se mit à les prostituer chez elles. La toute première fois, Mack avait hurler, frapper, mordu, s'était débattu férocement, mais la correction qu'elle reçu de son père lui apprit à ne plus se débattre et à supporter tout ce qu'elle endurait sans rien dire, sans se plaindre, avec le sourire même !

Cela durait depuis deux ans à présent, Mackenzy allait avoir 18 ans, et elle désirait plus que tout quitter le domicile "familial", mais elle se demandait sans arrêt comment est-ce qu'elle s'en sortirait dans la vie, elle ne savait pas comment faire étant adulte, et il était hors de question qu'elle continuât son "métier" de prostituée de son plein grès ! Mais ce jour allait faire basculer sa vie à jamais. C'était un jour comme un autre, un client comme un autre, enfin pas tans que ça .. Il payait plein pot pour toute une journée avec les deux soeurs, sauf qu'il se contentait de s'asseoir et de les regarder.

Cet homme revint, encore, et encore. Et à chaque fois, Mack lui racontait sa journée, ses craintes. Alix disait qu'il s'entait le pote. Peut être c'était vrai, mais sa jumelle ne le sentait pas. Elle était tombées amoureuse. Oui, amoureuse d'un homme d'ont elle ne sais presque rien, seulement le prénom; Damian.

Loralee n'avait pas tout à fait tort. Derrière le visage peu angélique de Damian se cachait quelque chose, un mot bien connu de la population, mais une entreprise bien méconnue. Heureusement ou malheureusement ? Le jeune homme ne semblait pas méchant, mais il pouvait être bon acteur. Tient, un mafioso acteur, c'est comme un motard coiffeur ! (Avec accord d'Ulrik mdr)

Un jour, Damian arriva au domicile familial sans rendez-vous. Pas seul, accompagné de gens. Le jeunot montra du doigt le père Haway et le reste ne fut que de cris; de douleur pour monsieur Haway, de joie pour Mackenzy et Loralee. Elles se savaient délivrées. Peut être avait-il bon coeur après tout se Damian ?

Les jumelles vivent maintenant depuis un an chez leur sauveur et elles sont considérées comme ses filles. Elles trempent dans les affaires de Mafia plus ou moin directement, mais elles y trempent. Damian ayant plusieurs chiens, elles s'en occupent aussi parfois et avec son aide, Mackenzy s'est ouvert une entreprise de dressage.