La demoiselle sourit alors que son amoureux vient tendrement prendre sa main de sorte à la glisser dans la sienne. Une vague d’amour immense envahie la brune, qui n’aime son compagnon que davantage en cet instant qui les rapproche. Il accepte naturellement que Mandy soit la marraine mais à vrai dire, Ekaterina s’y attendait quelque peu. Les deux jeunes gens ne se connaissent peut-être pas depuis des années mais elle sait que son cher et tendre aime tout de même bien Mandy. Heureusement, la guéguérre mari-meilleure amie, ça l’aurait sûrement beaucoup blessée. Elle n’est pas le genre de femme qui saurait faire le choix entre l’amour et l’amitié. Tout deux avaient trop d’importance dans son cœur pour être départagés.

«- Oui tu as raison, invitons les pour dimanche prochain ? C’est un peu précipité, je sais. Oh ! Ne leur disons pas que les parents de l’autre seront présent également, sinon ils se douteraient de quelque chose !» lance la demoiselle avec un sourire.

Comme il demande à rentrer chez eux, sans avoir touché à son dessert, la brunette accepte avec un sourire, disant qu’elle mangerait bien un morceau chez eux. Ma fois oui, maintenant, elle devait penser à manger pour deux. Quittant donc la table aux côtés de son cher et tendre, après avoir payé le serveur et laissé un excellent pourboire, satisfaite de la présentation du dessert surtout, la brune ne se le fait pas dire deux fois pour prendre place dans la voiture tant elle a hâte de pouvoir câliner son cher et tendre. Et à vrai dire, elle n’attend pas d’être arrivée pour s’en donner à cœur joie. Sitôt son chéri installé derrière le volant, la brunette ne lui laisse pas le temps d’allumer le contact et s’empresse de lui présenter ses lèvres, réclamant un baiser qu’elle finit par voler, tout simplement. Les paupières closes, elle se laisse envahir par l’amour qu’elle éprouve pour lui et, quand leurs lèvres se séparent, que ses yeux s’ouvrent de nouveau, elle sent son cœur battre la chamade, quand elle murmure.

«- Je t’aime… je t’aime tellement… mon amour. Et j’espère… que j’aurai d’autres occasions de te dire que j’attends ton enfant… Je rêve… d’une grande famille. Des petits toi et des petits moi… non. Des petits nous. Je suis sûre que bébé aura tes yeux… Ils sont… magnifiques. Tu sais que c’est ce qui m’a fait le premier effet chez toi mon cœur ? Quand j’ai croisé ces yeux... J'ai sût que je voulais aller plus loin avec toi et... j'ai sût plus tard en me perdant dans ces mêmes yeux, que je voulais passer ma vie à tes côtés...»

La jeune femme glousse en quittant le véhicule alors que son cher et tendre glisse ses bras de sorte à la prendre comme l'on prend une marié dans ses bras pour lui faire passer la porte de sa nouvelle maison. Dans la rome antique surtout car de nos jours ce n'est plus vraiment d'actualité. Cette jolie tradition s'est perdue dans le temps ce que ne manque pas de regretter la jolie Ekaterina. En attendant son amoureux lui fait quand même souvent ce genre de chose. Quand il est heureux ou quand elle le taquine tout le long de la route pour lui promettre monts et merveilles entre ses cuisses charnues. Fou de désir il avait alors souvent cette manie de la prendre comme si elle était la chose la plus précieuse au monde. Mais il lui semblait et à raison que ce soir Alexandre était plus foufou qu'il ne l'avait jamais été avec elle. Et bien sûr ça amusait pas mal Ekaterina qui se sentait infiniment heureuse de ce traitement.

Le regard perdu dans celui de son cher et tendre la demoiselle a une terrible envie de lui dire comme elle l'aime mais en même temps ce n'est pas tellement nécessaire d'ouvrir la bouche pour le lui dire car il le sait déjà. Il le sait déjà parce que cela est visible, cela transparaît, dans le regard qu'elle pose sur lui. Son coeur bât la chamade. À vrai dire la jolie bune se doute de ce qui va arriver maintenant. D'autant plus que l'un comme l'autre ils ont attendu cela tout au long de cette soirée. La jolie russe a le souffle coupé alors que rien n'a commencé. Mais le simple fait d'anticiper les choses lui provoque une certaine excitation comme si son amoureux avait déjà posé une main sur son corps pour la caresser doucement. Tendrement.

La jeune femme relève le buste pour embrasser de nouveau l'homme qui fait battre son coeur. Elle l'aime tellement qu'elle ne saurait pas dire à quel point. Elle a tellement envie de lui aussi... D'ailleurs ses mains se posent déjà de manière à déshabiller le torse du jeune homme. Et quand il est déshabillé la demoiselle commence à le carresser du bout de ses doigts, frissonnant de le sentir nu sous ses mains. Elle glisse son nez dans le cou de l'homme dans ce même temps de sorte à pouvoir en respirer l'odeur. Puis elle remonte et vient tendrement mordiller son oreille tandis que de ses mains elle parcourt toujours son buste qu'elle a mit à nu. Contrastant avec sa précipitation de tout à l'heure la demoiselle prend maintenant son temps. Le temps de profiter de lui. Le temps de profiter de leur amour. Peut-être que cela frustre un peu son aimé mais ce n'est pas le but premier de la jeune femme qui vient murmurer soudainement à son oreille.

"- J'ai faim de toi mon amour..."

Tellement faim à vrai dire que, inavouablement, la jeune femme espère que leur plaisir les conduira, les accompagnera jusqu'au petit matin.

La demoiselle était tellement heureuse. Un bébé, c'était une si bonne nouvelle à annoncer à son cher et tendre. Et une nouvelle à fêter, à leur façon de tout évidence. Les mains caressent, parcourent le corps de l'autre, le déshabille. Les lèvres se rapprochent, se soudent les unes aux autres, passionnément. Elle avait faim de lui, tellement faim de lui et le jeune homme semblait avoir également faim d'elle, de cette compagne qui le ravissait par ses charmes, par sa grâce, par tout ce qui faisait qu'elle était Ekaterina Belikova tout simplement. Elle aimait cette idée qu'il avait envie d'elle en cet instant, cette idée qu'il était heureux par avance à la seule pensée de ce qui allait leur arriver bientôt, d'une minute à l'autre. Kate était tellement comblée entre les bras de son amoureux. C'était tellement bon d'être auprès de lui, tellement bon de frémir sous ses doigts alors qu'il remonte doucement vers ses sous-vêtement. Alexandre... Ekaterinna saura-t-elle un jour te dure toute la profondeur de son amour, tout ce qu'elle ressent simplement lorsqu'elle pense à toi ?

Alexandre est nu sous les doigts de la jolie Russe qui se sent totalement électrisée par les mains de son amoureux qui parcourent son corps, qui la font frémir ainsi... La brune n'a jamais autant aimé faire l'amour que depuis qu'elle connait Alexandre. Parce que personne, aucun homme, ne lui a déjà fait ressentir ce qu'elle ressent auprès de lui, ce qu'elle ressent sous les doigts de l'homme, quand leurs souffles se mêlent, quand leurs langues se lient ensemble, amoureuses l'une de l'autre. Mon dieu ce que c'est bon, tout simplement, de s'aimer comme ça, de s'aimer charnellement avec le jeune homme. Bien sûr ce n'est pas tout ce qui compte et leur relation ne se résume pas à ça, il y aurait tant à dire sur eux, que cela prendrait des heures...

"- Je t'aime Alex... comme une folle..."


HRP : Han mon pauvre amour :oVilain pc >.<

"- Oh chéri je t'en prie, c'est de moi que tu parles..." répond la brune à son cher et tendre alors qu'une grossièreté délicieuse quitte la bouche de ce dernier. Elle aime tellement le voir et l'entendre qui perd ses moyens quand elle s'occupe de lui... Reprenant le cours de sa gaterie la demoiselle frémit en sentant la main de son compagnon venir flatter sa joue pour se glisser ensuite, mêler ses doigts à sa chevelure. La jeune femme s'amuse à combler son cher et tendre alors qu'elle trouve son plaisir dans celui de son partenaire. Le sentir se mouvoir ainsi entre ses lèvres pour en avoir davantage... La brune est amusée et très excitée alors qu'elle le regarde faire. Sait-il comme il est incroyablement beau comme ça, quand il a du plaisir ? Ekaterina adore littéralement son visage dans ces moments là.

La demoiselle se laisse faire quand le jeune homme l'allonge, sans cesser de combler son membre de ses lèvres. La surface est plus dure que le canapé et moins confortable mais l'idée même de faire l'amour à même le sol rend folle la demoiselle et son cher et tendre décide de toute évidence de la maintenir dans un tel état puisque la brune santé bientôt sa langue contre son intimité humide. À son tour elle aurait envie de dire, sous le coup du plaisir qui la prend, des mots pas très jolis. Mais le membre de son compagnon lui interdisent le moindre mot, la moindre parole. Comme un baillon de chair. La jeune femme se sent impuissante, prise au piège alors que le corps de l'homme la bloque empêchant ainsi toute fuite. Et elle adore cette sensation d'être entièrement livrée à lui.

Malgré son plaisir pourtant et malgré le corps de son homme au dessus d'elle, Kate arrive à inverser la position sans trop savoir comment si bien que pendant quelques minutes c'est elle qui "domine" l'action en étant au dessus de lui. Tout en sachant bien que le jeune homme étant plus fort il peu à tout moment la faire de nouveau passer au dessous de lui. Cependant la jeune femme cesse finalement ses agissements et se libère du traitement que lui inflige son amoureux. Un peu à regrets. Elle l'incite à lui retirer sa lingerie avec les dents. Puis elle l'enjamber et vient l'embrasser tout en s'amusant à frotter son intimité humide tout le long du membre de son amoureux lui promettant ainsi monts et merveilles.

Tout à coup sans crier garre et alors que Kate est occupée à caresser le membre de son compagnon à l'aide de sa propre intimité, son partenaire n'en pouvant plus la soulève légèrement de sorte à s'immiscer en elle, à la prendre. Kate laisse échapper un cri de bonheur. C'est tellement bon, agréable, de sentir son compagnon prendre ainsi possession d'elle, de son corps. Katherine est ravie alors que le bassin de son homme s'active en elle. À demie couchée sur Alexandre, la brule se redresse en angle droit pour aider son partenaire dans cette tâche qu'il s'est lancé. La jeune femme mouvoie son bassin sur le membre de son compagnon. C'est incroyable comme c'est bon, comme ça fait du bien. La brune se rallonge un peu sans se presser contre le corps de son homme seulement elle veut le voir, voir son visage pendant ce moment. Ses mains agrippent le tissus du canapé à côté d'eux et la demoiselle y enfuie son visage quelques instants. Elle ne reflechut plus vraiment à ce qu'elle fait à vrai dire. Retombant totalement sur son compagnon elle le laisse continuer d'aller et venir en elle alors qu'elle loge sa tête dans le creux du cou de l'homme. C'est la qu'elle commence à crier son bonheur. Elle perd complètement la tête. Elle adore cette sensation d'abandon. "Mhhh cheriiii" crit elle tout à coup alors que son plaisir monte d'un cran. C'est la qu'elle décide de se retirer au traitement infligé par son compagnon. Se plassant à ses cotés, allongée de profil, elle lève la jambe et guide ensuite son compagnon en elle. Sitôt que son membre la prend de nouveau, que la jeune femme se sent possédée, ses gemissements reprennent. Sa tête se tourne de sorte à être frond contre frond avec Aleksandre quand elle gémit. "Oh oui mon amour c'est bon. Oui. Oui... Mhhh.oh encore... Chéri encore..." demande t elle en même temps qu'elle perd définitivement la tête sous l'effet du plaisir.

La jeune femme à envie de son compagnon. Terriblement envie. Chaque fois que leur corps se sépare la jeune femme se sent mal et frustrée. Elle le veut et elle veux atteindre le sommet de son plaisir avec le jeune homme, en même temps que lui. Elle aime cette symbiose qui se créé alors entre son compagnon et elle. Pour l'heure elle de contente de profiter de la proximité de son amoureux qui est tout contre elle à lui donner du plaisir. Beaucoup de plaisir. Elle gémit, laisse échapper de petits cisaillement. Mais au fur et à mesure que les minutes passent, le plaisir de la demoiselle augmente et ses gémissements montent crescendo. Elle n'en peut simplement plus. Elle sent que le moment ne tardera plus. Elle sait que son amoureux ne va pas tenir encore bien longtemps lui non plus car elle le rescent. Elle a l'impression de ressentir le plaisir que l'homme a avec elle.

L'orgasme la saisit soudainement la surprenant quelque peu. C'est peut-être ce dernier qui en faisant se contracter les muscles du bassin de la demoiselle font que son compagnon jouit presque immédiatement après. La jeune femme adore ça. Sentir le plaisir de son tendre qui l'inonde. Elle est heureuse de sentir que ce petit moment intime a bien plût à son aimé.

La demoiselle a du mal à reprendre sa respiration et un rythme cardiaque régulier mais elle se calme peu à peu. Quand l'homme se retiré d'elle,brisant ainsi leur union charnelle alors qu'ils ne faisaient plus qu'un, elle se tourne vers le jeune homme à qui elle adresse un sourire ravie avant de se presser contre lui, heureuse. Un sourire sur les lèvres elle enfouie son visage contre le torse de son amoureux puis le relève pour venir l'embrasser. "Chéri... C'était tellement... Oh je t'aime mon amour je t'aime si tu savais ! Ça fait même mal d'aimer comme ça !". Elle a encore envie de lui. Mais elle lui laisse le temps de se reposer. Et quand il lui semble qu'il est d'attaque elle se redresse et lui tend sa main pour l'entrainera ailleurs. Dans leur chambre pour plus de confort. Et c'est là que le laissant s'allonger sur le lit elle vient ensuite gâter son membre qu'elle prend entre ses seins tout en lui infligeant le supplice de ses lèvres sur son gland.

Ekaterina choisit une position mais son cher et tendre ne semble pas totalement d'accord avec celle-ci, au point qur presque immédiatement il fait se redresser la brune pour la mettre à quatre pattes. Ce qui n'est pas pour déplaire à la demoiselle qui adore ça et qui sait déjà par avance qu'elle va prendre un pied d'enfers ce qui naturellement la motive et l'excite bien plus. Elle se sent ruisselante. Et c'est tellement agréable. De se sentir si bien, si lubrique et en même temps d'être à ce point satisfaite de l'être. Quand Alexandre place ses mains sur les épaules de la brune pour la prendre doucement cette dernière pousse un long gémissements de bonheur en le sentant qui écarté ses chairs pour prendre totalement possession de son corps, de ce corps que la jeune femme lui offre. Et en même temps ça fait un peu mal. Une légère douleur que la brune sait passagère. Le membre de l'homme commence à s'activer tandis que ce dernier se cramponne aux hanches de sa dulcinée. La jeune femme a du plaisir. Beaucoup de plaisir. Elle a l'impression de perdre la tête et en même temps elle sourit de sentir son cher et tendre prendre lui même son pied en laissant échapper un juron. Elle aime le voir ainsi perdre le contrôle de lui-même. Son propre plaisir lui fait attraper un coussin pour y enfuir la tête dedans, y crier tout son saoul sans craindre d'être entendu par le voisinage. Et parce que en même temps ça a un petit côté excitant. Et rapidement la demoiselle atteint l'orgasme en criant le nom de son compagnon. Délicieux. Dévastateur. C'est tellement bon. Et elle se sent aussi tellement épuisé mais ce n'est pas grave. Elle n'y fait pas très attention dans son désir de passer une nuit du tonnerre avec son amoureux.

"- Mhhh chéri..." geint la jeune femme.

La demoiselle est si heureuse auprès de son cher et tendre, tellement comblée de l'avoir rencontrée, tellement comblée à l'idée d'avoir un enfant avec lui, tellement heureuse de ce bonheur qui leur sourit, qui les appelles. Tellement heureuse à l'idée de probablement passer toute sa viie avec lui car c'est certain, elle en a envie. Elle n'attend plus que sa demande et la promesse de son amour éternel en réponse au sien, aussi indestructible. Elle sourit heureuse sous les mains de son tendre qui repousse une mèche de ses cheveux avec tendresse. Ils ont passés un bon moment. Un très bon moment. Maintenant la demoiselle le sent fatigué. Alors elle le laisse s'endormir et lui emboite le pas rapidement après, sa tête nichée contre celle de son amour. Voilà. Maintenant c'est totalement parfait. Maintenant plus rien ne compte que leurs deux corps étendus l'un contre l'autre. C'est avec un fin sourire égayant son visage que la demoiselle trouve le sommeil, un sourire démontrant son bonheur absolue, un sourire qui indique tout le bonheur qu'elle ressent au moment de confier son âme à Morphée. Là, dans ce lit auprès de lui, la jeune femme a la conviction que rien jamais n'encombrera leur route. Elle ne sait pas comme elle se trompe, elle ne sait pas comme les démons se tapissent dans l'ombre. Innocente. Naïve, peut-être. La brune se convainc de cet amour éternel. Qui ne faiblira et ne se finira jamais elle en est persuadée. Parce que ce n'est tout simplement pas possible, parce qu'elle ne peut pas exister, vivre, sans l'avoir à ses côtés. Elle l'aime trop pour ça... Et c'est donc une bonne nuit qui s'offre au couple. Une bonne nuit de repos après de si vives et si délicieuses émotions. Une nuit agitée toutefois, sous la passion qui les réveille parfois, les faisant s'aimer encore.