Sujet: Re: What have I done ? [Adam] Jeu 24 Juil - 2:03
What have I done ?
Alcohol may be man's worst enemy, but the bible says love your enemy
Des ivrognes, j'en vois régulièrement dans mon club de nuit privé. Ils enfilent les verres les uns après les autres. Certains par pure envie de s'amuser entre amis tout en profitant de la vue que leur offre les danseuses au corps de rêve. D'autres, pour tenter d'oublier leur pitoyable existence. Ils réussissent à prendre la vie du bon côté, leur vision embrumée par les vapeurs de l'alcool et leur désir monté en flèche sous la vue des beaux petits culs qui se trémoussent. En cet instant, je peux vous assurer que je comprends parfaitement comment elles peuvent se sentir. Parce que là, Scott bave et me dévisage comme ces pervers dévisagent mes putes. En d'autres circonstances, je pourrais presque trouvé ça insultant, mais étonnement, ça me fait sourire. Après tout, qui n'aime pas se sentir désiré de la sorte ?
Non pas que c'est nouveau pour moi, mais je mentirais si je disais que le musicien ne me plait pas. Il me plait. Il est sexy, musclé et surtout, complètement sous mon charme. Un beau mélange qui me permet généralement d'assouvir plusieurs de mes désirs cachés. À peine le chauffeur démarre pour se rendre à la demeure de Scott qu'il grimpe sur moi en s'accrochant à mon cou et en m'embrassant avec plus d'intensité que son état le lui permettait logiquement. Même si une partie de moi aurait envie de le repousser brusquement avec un air de dédain pour lui faire comprendre direct que je ne suis pas le genre d'homme à se laisser grimper dessus de la sorte, la partie qui se gonfle dans mon pantalon a bien envie qu'il reste là.
Tout en donnant un bon coup de bassin vers le haut pour le faire rebondir en laissant sortir un grognement. Ma main se glisse lentement vers sa nuque, mais pas pour approfondir le baiser. Non. Il m'excite, je ne le nie pas, mais il s'avère être un peu trop dominant dans l'instant et ça ne me plait pas. Mes doigts se glissent dans ses cheveux derrière sa tête et tout en mettant fin au baiser, j'empoigne la racine de ses cheveux et tire vers l'arrière afin de faire basculer légèrement sa tête. Un large sourire aux lèvres, je le regarde en me mordillant la lèvre ''C'est qu'il y est en feu le jeune musicien..''
Maintenant que j'ai repris le contrôle de la situation, je suis beaucoup plus en mesure de laisser aller mes envies pour répondre aux siens. Mes deux mains descendent sur ses fesses pour qu'il se redresse à genou sur le siège de la limousine. Aussitôt fait, je baisse son pantalon jusqu'à ses genoux ainsi que son boxer. Ça ne m'en prend pas plus pour être totalement durcit. Pendant que je viens mordiller son ventre qui est à la hauteur parfaite, mes mains retournent empoigner ses fesses. Rapidement, je viens ouvrir mon propre pantalon et en sors ma verge sans prendre la peine de le retirer complètement. Posant alors mes mains sur ses hanches, je le fais redescendre d'un coup contre mon bassin, qui se lève au même moment pour le rejoindre. Un nouveau grognement. Il allait vite apprendre ce que ça en coûtait d'être dans la mire du Bakersfield.
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Sujet: Re: What have I done ? [Adam] Sam 26 Juil - 12:19
What have I done ?
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Aïe, aïe, aïe ! Mes cheveux ! Mais ça fait mal ! Ce qui est curieux, c’est qu’au lieu de grogner de douleur, c’est un gémissement qui m’échappe. De plaisir. La confusion causée par l’alcool surement. Je n’ai jamais été du genre masochiste. Quoi que, quand on y pense, je n’ai jamais été non plus dans une situation qui m’aurait permit de découvrir ce genre de choses. Mais qu’est-ce que je dis ? Je ne suis pas comme ça, point à la ligne.
De toute façon, on s’en fiche, parce qu’Adam semble bien vouloir s’y remettre au final. Et ça, ça c’est tout à fait mon truc. Il me force à me relever sur mes genous et c’est bien volontiers que j’obéis. C’est tellement plus facile de le laisser mener la danse, surtout quand tout tangue autour de moi, sans que ce soit la faute de la voiture. Il expose mon sexe et mes fesses, descendant mes vêtements sur mes mollets, et se contente d’ouvrir sa braguette pour en sortir son membre.
Ses dents sur la peau de mon ventre, lequel est agité d’un léger frémissement à ce contact. Puis d’un habile mouvement, du moins, plus habile que quoi que ce soit que je sois en état de faire à l’heure actuelle, il me descend en donnant lui-même du bassin, nos deux verges se frottant l’une à l’autre. Nouveau gémissement, nouveau tréssaillement. Les mains toujours sur la nuque de Bakersfield, je me retiens à lui et ondule un peu du bassin à mon tour, sans pouvoir m’en empêcher. Et je ne veux définitivement pas m’en empêcher. Demain matin, je repenserai à tout cela et je voudrai m’ouvrir les veines, probablement. Mais je m’en fiche. Pour l’heure, je vais encore me taper le très sexy Adam Bakersfield dans sa voiture, sur le chemin de ma maison, après avoir vidé une bouteille de vodka –ou presque, en prenant en compte ce que j’ai échappé sur le sol –et qu’il m’ait proposé de travailler pour lui.
J’ai le souffle court, la peau en feu, le cœur qui bat à cent milles à l’heure et la tête dans les vapes. Ma langue se meurt d’envie de pouvoir goûter à nouveau sa peau, son sexe, sa semance. Mon cerveau adorerait dormir, mais il peut bien aller se faire voir. Plus tard.
Hors la loi
Adam H. Bakersfield
Date d'inscription : 09/04/2014 Messages : 125
Sujet: Re: What have I done ? [Adam] Lun 28 Juil - 1:06
What have I done ?
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Il aime ça. Oh oui, il adore ça. Je ne me lasse jamais de provoquer cet effet sur les gens. Comment ne pas apprécier cette chaleur qui se glisse dans ma poitrine ? Chaleur qui ne fait que s'accentuer au fur et à mesure que le musicien démontre son excitation. Même complètement bourré, à deux doigts de claquer, de tomber raide mort, il arrive tout de même à trouver de l'énergie pour être bandé comme un cheval et me grimper dessus. Il aime se faire prendre le beau gosse. Qui serais-je de ne pas lui offrir un peu de ce plaisir ? Sans parler que je prends tout autant mon pied. Jamais Bakersfield ne passe à côté d'un bon coup et c'est définitivement ce que ce mec est.
Mes mains massent presque violemment ses fesses, les écartant à quelques reprises. Bien rondes, comme je les aime. Il a beau être au dessus de moi, c'est moi qui mène la danse, c'est moi qui contrôle le mouvement, qui dirige chacun de ses tressaillements. D'un coup de bassin vers le haut, accompagné d'un grognement grave, je viens taper bien au fond de son joli petit derrière. Je ne m'inquiète pas pour le chauffeur. Je sais choisir mes employés. Le silence se paye bien et ils sont choyés. Je le suis donc aussi. Déchainé, je le martèle de l'intérieur, encore et encore. Mes mains maintiennent ses fesses écartées et m'aident à le faire monter et descendre sur mon membre sans jamais cesser mon propre mouvement. Je me retiens pour ne pas lui donner de petits surnoms affectueux. Ma petite pute.. ma petite chienne.. que ces mots sonnent doux à mes oreilles. Un peu de contrôle, ce serait dommage que cette familiarité lui fasse perde un contrat de spectacle. Oui, je sais, je suis trop bon.
Je viens, abondamment. La limousine s'arrête, signe que nous sommes arrivés à destination. Je serais prêt à mettre ma main au feu que ça ne prendra pas plus de deux minutes une fois qu'il aura franchit le seuil de sa porte avant de tomber dans un profond sommeil comateux. Tant mieux. Il se réveillera avec les même vêtements et en fouillant dans sa poche, il trouvera ma carte d'affaire. ''Tu es arrivé à destination'' Sans délicatesse, il te retire de sur lui afin de ranger sa verge et de relever la fermeture éclair de son pantalon. Il te sourit comme si rien était, comme s'il venait simplement de raccompagner monsieur ou madame tout le monde ''Heureux d'avoir fait ta connaissance, j'attends ton coup de fil'' Sans plus de cérémonie, il tourne la tête vers la porte qui s'ouvre, le chauffeur. Il se tient à côté de la portière, bien droit, professionnellement, attendant que tu sortes afin qu'il puisse la refermer et reconduire son patron chez lui.
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Sujet: Re: What have I done ? [Adam] Mer 6 Aoû - 14:05
What have I done ?
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Nous y sommes. Chez moi. Adam m’a prit, encore. Bon, c’était tellement bon. Mais j’entends le chauffeur approcher pour ouvrir la porte. Même s’il a très probablement tout entendu, je préfèrerais qu’il ne me surprenne pas avec le pantalon sur les genous. Je le remonte donc rapidement, autant que faire se peut avec mes mains molles et sans forces. Je souris légèrement à l’adonis sur le banc et tente, bien stupidement, de parler d’une voix claire et nette. Ma voix ensommeillée et plus basse qu’à l’habitude fera l’affaire j’imagine. Demain, sans faute. Je ne manquerais cet appel-là pour rien au monde. Quoi que ça risque quand même d’être gênant de travailler pour un type avec qui j’ai couché. Faudra que je n’en fasse pas une habitude, ça ne se fait pas de baiser avec son patron. Mais ça en vaudrait vachement la peine…
Je sors de la voiture. Ma maison m’attend, mon lit m’appelle. Ah non, c’est Tobby qui jappe ça. Quel con ce chien. Dire qu’il était tout petit et mignon il n’y a pas si longtemps… Je jette un dernier regard à la limousine derrière moi. Puis j’avance vers la porte. Je semble dévier de mon chemin inconsciement, ou alors, c’est la porte qui change de place. Un peu plus à gauche, un peu plus à droite, j’y arrive finalement. Maintenant, le plus difficile. Mettre la main sur mes clefs. Dans quelle poche je les ai mises déjà ? Les voilà ! Laquelle c’est déjà ? J’entre, Tobby déboule et manque de me faire tomber. Vraiment, quel con. Mais oui, mais oui, tu m’as manqué aussi… Je laisse carrément ma veste tomber par terre, n’ayant même pas la force de l’accrocher. Je regarde le salon, puis vers le couloir, là où se trouve ma chambre. Trop loin. Le canapé fera bien l’affaire. Je traîne les pieds jusque là, chaque pas me semblant plus difficile que le précédent. Je m’écroule sur le divan, retirant mes souliers d’un mouvement de pieds.
C’est étrange. Ce n’est tellement pas mon genre de faire ce genre de chose. Coucher avec un inconnu, un futur patron qui plus est. L’alcool ne m’a jamais fait agir aussi bizarrement avant. Plus d’alcool. C’est mieux comme ça.