- Brandon était entrain de dormir profondément, perdu dans le monde de ses rêves depuis plusieurs heures. Cela faisait plusieurs nuits qu'il rêvait de la même chose, de toi, de lui, de vous. Et il adorait lorsqu'il faisait ce genre de rêve, même si le retour à la réalité était toujours brutal. Il devait alors se faire à l'idée qu'il était seul dans son lit, que tu n'étais pas là avec lui, et que ses "je t'aime", il ne pouvait te les murmurer que lorsqu'il dormait. Mais cette fois ci, quelque chose, ou plutôt quelqu'un vient briser sa tranquillité. Il se serait bien mis à gueuler de le laisser tranquille, n'ayant aucune idée de l'heure qu'il pouvait bien être, mais il avait entendu ta voix. Ni une ni deux, il avait sauté du lit comme si il était dans un forme olympe, et il avait traversé son appartement en courant. Il avait déjà les pires scénarios en tête sur le pourquoi tu semblais si désespérée et que tu te trouvais ici en pleine nuit. Son coeur était prêt à bondir de sa cage thoracique. Alors quand il ouvre la porte, et que tu te jettes ainsi dans ses bras, il te serre fortement contre lui, refermant la porte à l'aide de son pieds tandis qu'il nichait de suite une main dans tes cheveux pour les caresser et tenter de t'apaiser. Tu étais gelée, et tu tremblais comme une feuille, si bien qu'il était incapable de dire si il s'agissait de peur ou de froid. Une nouvelle fois, son coeur se brisait en deux. Il détestait au plus haut point te savoir si mal. Il te serre alors fortement contre lui, te montrant qu'il était bien là, que tu pouvais lui parler, qu'il t'aimait. -

Je suis là, je suis là.. Calme toi Amour s'il te plait tout va bien.. Qu'est ce qu'il se passe ? Quelque chose ne va pas à la maison ? Malicia va bien ?

- Il ne te lâchait pas d'une semelle, te gardant dans l'étreinte protectrice de son corps et de ses bras musclés. Il avait toujours la peau chaude aussi, ce qui était relativement agréable pour qui que ce soit qui le touchait. Il dépose plusieurs petits baisers contre ta tempe, te berçant légèrement pour tenter de te calmer. Mais que se passait-il ? Il avait tellement peur que quelque chose de grave ne soit arrivé. -

- Brandon ne savait plus quoi faire pour réussir à te calmer, mais heureusement, il pouvait sentir tes tremblements devenir de plus en plus calme et ça le rassurait tout de même légèrement. Mais tu pleurais encore et toujours, et cela lui faisait peur. Et si il se passait réellement quelque chose de grave ? Il fallait qu'il court jusque chez toi pour vérifier ? Il le ferait si il en avait besoin. Il se recule alors très légèrement, gardant tout de même ses bras autour de toi pour t'empêcher de partir trop loin. Il ne voulait pas que tu lui échappes. Il vient alors essuyer tes larmes à l'aide de ses pouces, posant son front contre le tiens pour te regarder avec un petit sourire. Il était déjà entrain de former sa réponse dans sa tête pour te rassurer et te dire que jamais il ne pourrait te laisser, qu'il serait toujours là pour toi, qu'il ne pourrait faire sans toi. Mais tes mots.. Mon dieu, il les avait tellement attendu. Il avait retenu sa respiration, le monde avait arrêté de tourné autour de lui. Il oubliait tout. Comment marcher, respirer, faire du vélo, parler, courir, se battre.. Il avait juste envie d'exploser telle une bulle de bonheur. Il avait véritablement arrêter de respirer, et c'est une vive douleur dans sa poitrine qui le rappelle à l'ordre. Il prend alors un grande respiration avant qu'un sourire n'apparaisse sur ses lèvres. Tu l'aimais.. Il avait compris que ce n'était pas un je t'aime comme tu avais l'habitude de lui dire parfois, non. C'était LE je t'aime qu'il attendait depuis des années, ce je t'aime qui lui donnait des ailes. Il glisse alors ses mains en coupe sur ton visage, avant de les glisser contre ta nuque tandis qu'il te regardait les yeux brillant, brillant d'un amour sans nom et d'un bonheur jusqu'alors inégalé. -

Si tu savais Cass.. Si tu savais depuis combien de temps j'attends ça.. Je t'aime tellement. Je t'aime si fort que ça en fait mal..

- Il ne pouvait pas attendre une minute de plus, ses lèvres avaient retrouvé les tiennes pour un baiser pleins d'amour et de ferveur. Tu l'aimais.. Et il trouvait que c'était la plus belle nuit de toute sa vie. -

- Il ne savait plus quoi faire ni quoi dire. Il avait l'impression que tout allait beaucoup trop vite, mais aussi que le monde avait arrêté de tourner. Il y avait trop de sentiments différents qui déferlaient en lui, trop de question, de pulsions, mais surtout, trop d'amour. Il aurait pu se mettre à pleurer si il ne se retenait, rendant alors simplement ses yeux humides et brillant. Cela faisait quasiment 10 ans qu'il t'aimait en secret, et aujourd'hui, au beau milieu de la nuit, tu étais venu le réveiller pour lui révéler tes sentiments. Il ne savait même pas si il pourrait s'en remettre un jour. Tu l'aimais, il t'aimait, vous vous aimiez.. Mais alors.. Vraiment ? Vous étiez ensemble ? Comme un vrai couple ? Comme deux adultes qui s'aiment d'un amour indestructible ? Il se posera des questions plus tard, là, il voulait juste profiter de cet instant parfait à ses yeux. Il répond alors à ton baiser qu'il prolonge légèrement pour venir chercher ta langue de la sienne avec toujours autant de douceur. L'intensité de ton petit murmure l'avait totalement électrisé. A bout de souffle, il brise le contact de vos lèvres, te regardant alors en souriant comme un imbécile heureux. Il ne s'était jamais senti aussi bien et si léger. -

Tu ne mens pas, pas vrai ? Tout ça est vrai ? Tu ne vas pas repartir en me disant que c'était un blague, et je ne vais pas me réveiller du plus beau rêve que je n'ai jamais fait ? Tu m'aimes..

- Un petit rire euphorique se fait entendre, tandis qu'il venait t'embrasser de nouveau et qu'il prenait ta main pour t'emmener avec lui dans sa chambre. Il avait envie de se retrouver allongé contre toi, de te faire l'amour comme jamais, de te garder dans ses bras et te murmurer enfin ses mots doux, de caresser tes cheveux, de retracer tes tatouages à l'aide de ses doigts, de te murmurer qu'il t'aime, et de s'endormir. Il savait que sa vie entière allait changé, mais il était près à parier le prix de sa vie si c'était pour être à tes côtés. -

- Si il avait le pouvoir d'arrêter le temps, il le ferait, et il passerait des heures à simplement te regarder. Parce que maintenant, il le pouvait. Il avait le droit de te regarder sans avoir peur que tu découvres quoi que ce soit. Il voudrait également simplement te prendre dans ses bras et ne plus jamais te lâcher, écouter les battements de ton coeur à l'unisson du sien et le rythme régulier de ta respiration au creux de son oreille. Il se haïssait pour être aussi gaga et fleur bleu, mais juste pour ce soir, il voudrait se couper du reste du monde, et faire comme si vous étiez les seuls à exister. Alors juste pour ce soir, il allait seulement penser à lui, à vous.
A tes mots, un sourire naît sur ses lèvres. Ce sourire qui en faisait fondre des dizaines, ce sourire qui retournait les têtes et qu'il n'allait réserver qu'à toi seule maintenant. -

Je veux être le seul à pouvoir te toucher maintenant, le seul à t'embrasser, te caresser. Je serai le seul à t'aimer si fort que tu en auras des vertiges. Je serai le dernier homme que tu connaîtras...

- Dans sa tête, tout cela sonnait comme une promesse. La promesse que jamais il ne pourra te quitter. Et pourtant, il ne croyait pas aux promesses, tous le monde le savait. Il n'en faisait jamais et ça se passait très bien ainsi. Mais il fallait bien une exception à la règle non ? De plus, il savait que celle la allait perdurer jusqu'à la fin de sa vie. Il n'avait pas attendu toutes ses années pour te laisser maintenant alors qu'il t'avait. Il vient de nouveau t'embrasser, puis il descend avec douceur et légèreté ses baisers dans ton cou, passant ses mains sous ton petit tee shirt de nuit afin de te le retirer. Il aurait surement ris de ta déguaine dans une autre circonstance. Une fois débarrassé de ton haut, il te fait lentement t'allonger sur le matelas, son corps surplombant le tiens tandis qu'il te couvrait de baisers. Mais ce n'était pas comme toute les autres fois. Non, cette fois, chacun de ses gestes transpiraient les sentiments. -

- Un petit souffle de désir passe la barrière de ses lèvres lorsque tes mains retrouvent ses fesses. Il savaient que tu les avais toujours aimé, tu les touchais à chaque fois que tu le pouvais, tout comme lui le faisait avec ta poitrine. Il n'y pouvait rien si elle l'attirait, c'était comme ça. Et maintenant, il allait avoir le loisir de lui faire tout ce qu'il voulait, quand il le voulait. Il dépose alors un baiser contre tes lèvres tandis qu'il baisse ta culotte, te mettant alors nue toi aussi. Il ne voulait pas attendre une seule seconde de plus. -

Et toi, tu sens comme tu me donnes envie...

- Pour appuyer ses mots, il appuie son bassin contre ta cuisse pour te faire sentir son début d'érection tandis qu'il venait à nouveau cajoler ta poitrine de baiser, ses mains se frayant un chemin entre tes cuisses pour te faire comprendre de les écarter afin qu'il puisse s'installer confortablement. Mais il avait véritablement envie de passer un moment intime et parfait avec toi. Il voulait s'occuper de toi, te donner du plaisir, te faire perdre la tête. Alors il descend ses baisers de plus en plus jusqu'à se retrouver face à ton intimité qu'il lèche alors avec expertise afin de faire grimper ton désir et ton plaisir. Il voulait tout partager avec toi, te connaître par coeur, connaître chaque millimètre de ton corps. Il voulait tellement être un petit ami parfait pour que tu ne le quittes jamais. Car cette fois, il ne s'agirait pas d'une rupture sans importance comme toute les autres, loin de là. Il se perdrait sans toi, et ses vieux démons referaient sûrement surface. Et il refusait de te perdre, de te laisser partir alors qu'il avait l'impression de te connaître depuis toujours. Brandon était prêt à tout pour te garder, t'aimer, et te faire vivre le mieux possible, pour toujours. -

- Brandon n'en pouvait plus. Il avait chaud et son coeur battait à mille à l'heure. Il n'avait qu'une et qu'une seule envie, ne faire qu'un avec toi. Il voulait que vos corps s'enlacent avec sensualité dans une étreinte charnelle. Et quand tu prends l'initiative de te mettre au dessus de lui, un souffle de plaisir passe la barrière de ses lèvres. Son regard était noir de désir et tu pouvais sentir à quel point il était excité. Il aurait bientôt craqué et il t'aurait pris immédiatement, mais te voir ainsi aussi au dessus de lui, prendre les commandes.. Ca l'électrisait totalement. Il se sentait griser, transporter très loin. -

Tu me rends fou Amour..

- Il souffle de nouveau de plaisir tandis qu'il passe ses mains ses tes hanches pour t'aider à accompagner tes mouvements de bassin. Il regardait ton corps se mouver au dessus de lui, son regard se baissant sur l'endroit où vos corps s'unissaient ce qui lui faisait tourner la tête. Il ne l'avouerait certainement jamais, mais il aimait bien quand la femme était au dessus parfois, car il pouvait observer son corps bouger avec délice. Alors il te laisse faire un moment, accompagnant tes mouvements en sens inverse pour aller encore plus loin, mais quand il sent que son orgasme arrive petit à petit, il décide de reprendre la situation en main et il inverse alors les positions sans sortir de toi. Il se retrouve alors au dessus de toi cette fois, entre tes cuisses et il accélère considérablement ses mouvements en toi. Il ne cessait de laisser quelques gémissements passer la barrière de ses lèvres tandis qu'il attrapait tes mains pour les planquer de chaque côté de ta tête, et serrer tes doigts entre les siens. Puis il vient t'embrasser, son corps bougeant sans relâche entre tes cuisses jusqu'à ce que son orgasme ne le frappe, lui faisant gémir ton prénom avant de mordiller la peau de ton épaule sous le plaisir. -

- Brandon se demandait si il avait déjà plané autant. Il avait l'impression que la poudre blanche qu'il prenait adolescent et qu'aucune cuite ne valait ce sentiment de plénitude qui s'était logé en lui. Peut être était-ce à cause de l'amour qu'il éprouvait pour toi, ou alors à cause de toi tout simplement ? Il n'en savait rien, et il se fichait en quelque sorte de ne pas savoir, il voulait juste ressentir ça encore et encore, jusqu'à la fin des temps. Jamais il n'aurait cru possible qu'un jour, toi et lui formeriez un nous, et visiblement, c'était le cas aujourd'hui. Pour lui, il était condamné à garder ses sentiments qu'il trouvait tout aussi beau que sales au fond de lui et te regarder vivre ton bonheur avec celui qui aurait eu la chance de partager ta vie. Et cet homme, c'était lui. Après l'orgasme, il laisse son corps recouvrir le tiens entièrement pendant quelques secondes, son visage niché au creux de ton cou. Rien ne pouvait passer entre vous, pas même un mince filet d'air. Vos corps s’emboîtaient parfaitement l'un dans l'autre, l'un sur l'autre, comme si vous aviez été fait pour être ensemble. Il ne croyait pas à toutes ces conneries sur le destin, les personnes faites pour être ensemble dès la naissance et toutes ces autres histoires, mais il croyait en cet amour qui ne l'avait plus quitté depuis qu'il avait environ 17 ans. Jamais.
Un large sourire prend place sur ses lèvres, tandis qu'il redresse légèrement son visage pour te murmurer un je t'aime des plus sincères au creux de l'oreille, de telle sorte à ce qu'il serait facile de croire qu'il venait de te murmurer un secret d'état. Et pourtant, il voudrait le crier sur tous les toits. Mais ce "je t'aime" était pour toi et toi seule. Finalement, il roule sur le côté, frissonnant lorsque vos corps se déconnectent et sans attendre une seconde de plus, il se met sur le flanc et se redresse sur son coude pour pouvoir te regarder en retraçant des lignes imaginaires sur ton visage, ta poitrine, ton ventre, tes bras, ton corps entier. -

Tu sais que ça fait.. Quelque chose comme dix ans que j'attends dans mon coin que ce moment arrive. J'aurais jamais cru ça possible. Je ne voulais tellement pas briser ce qu'on avait.. J'ai toujours pensé que tu me voyais juste comme un bon ami, le tonton gâteau pour prendre soin de ta fille et faire des conneries avec elle, enfin, comme un frère tu vois. Non pas un frère, ça voudrait dire qu'on est incestueux depuis des années.

- Il rit doucement en te regardant, venant déposer un tendre baiser contre tes lèvres avant de reprendre sa place initiale. -

Pourquoi aujourd'hui ? Pourquoi maintenant ? Enfin je veux dire.. Tu es sûre de ce que tu veux ?

- Il ne pouvait pas te rejeter, il n'en avait jamais eu la force de toute manière, ni l'envie. Tu étais tout pour lui, et jamais il ne pourrait te refuser quoi que ce soit. Alors lorsque tu viens contre lui, son bras libre passe instinctivement autour de toi pour te garder toute contre lui, écoutant tes mots qui gonflaient son coeur de joie. Il ne se savait pas si mielleux et tendre, mais il adorait t'entendre lui dire que tu l'aimais. C'est ce qu'il avait toujours attendu. -

Mais je suis là, et je n'ai pas l'intention de te laisser, jamais. Alors cesse d'avoir peur qu'on nous sépare un jour, car ça n'arrivera jamais.

- Il dépose un petit baiser contre tes lèvres avant qu'il ne t'embrasse la joue et la mâchoire. Il avait envie de passer le reste de la nuit à t'embrasser, te caresser, et te faire l'amour. Comme si il voulait rattraper toute ses années sans toi. C'était comme si sa vie prenait enfin un sens. A 27 ans, il allait connaître la stabilité. Il ne disait pas que sa vie volage ne lui manquerait pas, mais pour toi, il était prêt à abandonner ses plaisirs avec toutes ses filles. C'est elle qui allait le regretter, pas lui. Finalement, s'allonge sur le dos, te prenant tout contre lui tandis qu'il posait son regard sur toi. Un regard qui en disait long sur ce qu'il pensait à l'instant présent. -

Amour.. Je ne laisserai jamais rien se mettre entre nous. Je ne le faisais déjà pas avant, alors maintenant crois moi, jamais rien ni personne ne pourra nous séparer. Je t'aime trop pour ça. Et maintenant, tu es ma femme à moi, et je met au défit quiconque qui essayera de te toucher. J'espère juste que tu as encore assez d'argent sur ton compte pour payer ma caution.

- Il rit doucement, faisant se soulever son torse où ta tête se reposait tandis qu'il roulait sur toi pour t'embrasser à nouveau. Il n'y avait pas à dire, il était fou de toi, et tu allais devenir une drogue dont il sera difficile pour lui de se passer. Voire impossible. Mais il était tellement heureux, qu'il avait hâte de partager ce bonheur avec Keenan et Malicia. D'ailleurs, il espérait vraiment que ça ne dérangerait pas ta fille que son tonton soit avec sa mère, et il souhaitait que rien ne change dans ce trio si formidable que vous formiez avec Keenan depuis des années. Il ne le supporterait pas ça non plus. -

Tu crois que Malicia en pensera quoi ? Et Keenan ?

T'auras pas à regarder d'autres hommes, un point c'est tout.

- Il rit doucement à son tour en ta compagnie avant de répondre à chacun de tes baisers. Il pouvait déjà dire qu'il adorait les moments comme celui là, et il espérait qu'il y en aurait encore des centaines de milliers à venir. Il avait écouté tes paroles, affichant alors un sourire satisfait. Oui, il était sûr que leur ami serait heureux, et il ferait tout pour ne jamais le laisser de côté, tout en ayant également une vie de couple rien qu'avec toi. Mais il ne voulait pas que vos habitudes changent. Keenan restait son meilleur ami, et Malicia sa nièce adorée. Mais à l'entente de tes mots à propos des ressentis de la petite, il ne peut s'empêcher d'arrêter de répondre à tes baisers pour te regarder avec les yeux légèrement écarquillés. Vraiment ? Malicia pensait ça ? Il aurait tellement aimé être réellement son père. Il adorait ta fille, il l'aimait même, comme un père aimerait son propre enfant, et même si au fond de lui, il avait toujours eu se doute, il ne pouvait s'empêcher d'être triste qu'il ne le soit pas. -

Et tu es sûre que je ne le suis pas ?

- Cela faisait une éternité que vous n'aviez plus reparlé de ça. Brandon avait accepté qu'il y avait eu un homme juste après lui, et que cet homme était le père de ta fille. Mais maintenant que vous étiez ensemble, peut être que la réponse serait tout à fait différente. Mais bon, il en doutait fort. Il lève alors les yeux sur toi lorsque tu te lèves, son regard parcourant ton corps tatoué de haut en bas avec un regard rêveur, répondant d'ailleurs sur le même ton après avoir poussé un petit soupir. -

C'est moi le veinard ouais..

- Il te laisse partir en souriant, se redressant sur le lit afin d'attraper son paquet de cigarette dans sa table de nuit qu'il laisse entreouverte, laissant apercevoir sa boite de médicament trop pleine en vue de l'avancée du mois. Tu savais qu'il était malade mais vous n'en parliez jamais, car les seules fois où c'était arrivé, il t'avait joliment rembarré. Il n'acceptait pas sa condition, et il préférait tenter de se contrôler lui même, plutôt que d'être shooté avec ces médicaments. Il avait déjà donné quand il était plus jeune. -

Ramène une bouteille d'eau et un truc à grignoter s'il te plait.

- Il allume alors sa cigarette, allant ouvrir un peu la fenêtre, se fichant d'être totalement nu. De toute façon à cette heure de la nuit, personne n'était dehors. Et puis, il n'avait pas honte de son corps. Il retourne alors dans le lit, s'allongeant sur le dos, l'un de ses bras derrière la tête pour la relever tandis qu'il fumait tranquillement en souriant. Brandon était un homme heureux, là maintenant, tout de suite. -

- Brandon fumait donc tranquillement sa cigarette dans le lit lorsqu'il t'entend revenir. Il se redresse alors légèrement afin de pouvoir te regarder, souriant simplement tandis que son regard parcourait ton corps nu qui lui faisait de l'oeil. Tous ces tatouages faisaient de ton corps, déjà parfait à ses yeux, une véritable oeuvre d'art. Il pourrait passer des jours entier à le regarder, le toucher, retracer le contour de tes tatouages. Oui, ton corps le fascinait, et si il pouvait te garder enfermer avec lui, il te forcerait à te balader nue. A tes risques et périls bien entendu. Lorsque tu lui lances la bouteille et le sachet, il râle pour la forme avant de rire à son tour en ta compagnie et d'attraper le coussin à côté de lui pour te le lancer, celui ci atterrissant sur toi avec succès. -

Non mais de quel droit tu m'attaques d'abord ? Petite amie indigne ! Viens donc te faire pardonner.

- Il sourit du coin des lèvres, tirant une nouvelle fois sur ta cigarette avant de la poser dans le cendrier pour avoir les mains libres de faire ce qu'il voulait. Une fois de plus, tu l'hypnotisais totalement à bouger de cette manière. Féline, sensuelle, et tigresse à la fois. Impossible de résister à ça, autant l'avouer. Il te laisse donc faire en te regardant, sans pouvoir s'empêcher de penser que maintenant, tout ça lui appartenait. Tu étais sienne, tout comme il était tient. -

J'avoue qu'au départ, ça me faisait chier de me lever. Mais je ne me le serai pardonné si je ne l'avais pas fait. Tu devrais venir me réveiller plus souvent. Mais je te donnerai un clé, comme ça tu viendras directement dans mon lit. Ca sera plus pratique.

- Il sourit de façon innocente, riant quelque peu de nouveau. Ses mains quant à elles, glissent le long de tes flancs, passant sur tes seins, puis redescendant pour aller se loger contre tes fesses rebondis à souhait le temps d'un instant. Quoi ? Il avait bien le droit d'en profiter non ? Il n'était plus obligé de se retenir maintenant, alors il n'allait pas se gêner. Finalement, une main remonte le long de ton dos pour une légère caresse, jusqu'à attraper un mèche de cheveux avec laquelle il joue à enrouler autour de son doigt. -

Et je t'aime d'un amour indéfinissable, Cassidy Mandrake.

- Il dépose un long baiser contre ton front, puis il attrape la bouteille d'eau pour en boire quelques gorgées, ainsi que le sachet de cacahuètes enrobées. Il en mange une, et décide de lancer la deuxième pour tenter de la rattraper, mais il ratte, et celle ci tombe dans tes cheveux. Il fait alors mine de rien pour aller la chercher car l'air de rien, ça collait pas mal ce truc. Mais son silence soudain était suspect, à cause de sa grande concentration. Puis quand il parvient enfin à l'extraire, il se redresse pour s'asseoir, te forçant à en faire autant tout en te gardant sur ses genoux et contre lui et il s'amuse alors à faire rouler l'un des mets le long de ton corps en passant bien entendu par des endroits stratégique, jusqu'à ce qu'il arrive à tes lèvres, le faisant sourire doucement. -

Un jour, je mettrai de la crème fouettée sur toi, et du chocolat. Je prendrai des fraises, et je me ferai un régal en te dévorant.

- Brandon sourit en te regardant faire avant de passer ses mains le longs de ton corps. Il caresse alors ta peau du bout des doigts dans des caresses aériennes, retraçant les lignes de tes tatouages qui lui plaisaient tant. Il avait envie de te faire l'amour encore et encore, de rattraper toutes ces années perdues sans toi. Tes mots le font sourire sincèrement tandis qu'il passe se redresse en te gardant tout contre lui. -

Tu en auras une. Je dois dire que l'idée de te retrouver ici en rentrant du boulot me plaît beaucoup. Surtout si t'as de la nouvelle lingerie à me montrer.

- Il rit doucement et vient te voler un baiser rapidement avant de faire rouler la boule de sucre sur ta peau et plus précisément ta poitrine. Mais lorsque Brandon sent ta langue passer sur le bout de ses doigts, un long frémissant lui traverse le corps. Un simple geste de toi, et il était déjà à tes pieds. Tu avais un pouvoir illimité sur lui. C'est comme si ton corps attirait le sien, comme deux aimants complémentaires. Il se demandait comment il avait pu attendre si longtemps sans craquer et sans t'avouer tout son amour. Il se fouttrait des claques lui même si il le pourrait. Mais il avait eu tellement peur de te perdre au final qu'il avait préféré garder le tout pour lui. Et il ne le regrettait qu'à moitié car au moins maintenant, il avait des dizaines et des dizaines de belles années à vivre en ta compagnie. Et ils savaient lui aussi que votre vie de couple ne serait pas comme toute les autres. Vous ne serez pas ce genre de couple qui finit par s'ennuyer et se perdre dans la routine. Alors à tes mots, il sourit du coin des lèvres dans un sourire des plus taquin et pervers en glissant ses mains contre tes hanches. Il s'allonge alors de nouveau pour te laisser faire et profiter de tes baisers, soupirant d'aise tandis qu'il se laissait totalement aller. Il aimait tellement ce genre d'attention, surtout lorsque c'est toi qui lui faisait. -

Tu devrais combler ta faim alors. Je vais t'aider à ça

- Sa main glisse dans tes cheveux pour suivre les mouvements de ta tête autour de sa virilité qui ne faisait que gonfler de plaisir au fil des minutes. Quelques soupires de plaisir passait la barrière de ses lèvres tandis que son bassin bougeait en rythme selon tes mouvements buccaux. Tu étais entrain de l'exciter comme jamais. Chaque pores de son corps transpirait le désir pour toi. Une nouvelle bulle c'était créée autour de vous et rien ni personne ne pourrait la briser. C'était votre bulle, votre monde, votre avenir. Il ne voulait rien d'autre de toute façon. Juste toi, et tous ces sentiments que tu provoquais en lui à chaque fois que son regard se posait sur toi. Après plusieurs minutes, il se redresse subitement pour te plaquer sur le matelas et en souriant, joueur et excité comme jamais. Il voulait te rendre la pareil. Alors il laisse ses baisers recouvrir ta peau jusque ton entre jambes, ses mains caressant l'intérieure sensibles de tes cuisses qu'il embrasse et mordille par la suite. Mais finalement, sa langue se fait plus taquine lorsqu'elle rencontre ton bouton de plaisir gonflé qu'il taquine avec expertise et sensualité tandis que son doigt trouvait son chemin en toi. -

- Le simple fait de te voir prendre plaisir suffisait à le satisfaire lui aussi. De plus, il avait encore la sensation de ta bouche autour de son membre gorgé d'envie qui hurlait d'envie de se trouver une place chaude et humide. Mais avant tout, il continuait de t'apporter toute son attention à l'aide de sa langue experte et de ses longs doigts, levant parfois le regard vers toi pour te regarder prendre plaisir. Ca le grisait totalement. Il n'avait jamais été du genre à simplement chercher une fille pour se vider, même si il savait qu'un lendemain pour eux serait inexistant, il faisait quand même attention à ce que le plaisir soit partagé, tout en laissant libre cour à son envie. Mais avec toi, ça avait toujours été différent. C'était plus qu'un partage de désir et de plaisir. C'était une union, une offrande, un moment intime qu'il ne voulait avec personne d'autre. C'était une preuve d'un amour jusqu'alors caché. Et son devoir était de te combler en temps que femme alors il allait tout faire pour. Finalement lorsque tu le repousses, il se redresse en souriant d'un air des plus coquins pour venir te voler un baiser avant de hausser un sourcil, intéressé. -

Tu as toujours été une vilaine fille bébé.

- Il te laisse alors faire en soupirant d'envie. Il se demandait si tu pouvais te rendre compte de tout ce pouvoir d'attraction que tu avais sur lui. C'était dingue tout de même. Hallucinant. Il vient alors mordiller ta fesse avec sensualité avant de laisser sa main y claquer dans une fessé en tout point sexy. -

Tellement vilaine, que tu vas devoir être puni.

- Il sourit de nouveau en se plaçant à genoux derrière toi pour guider son sexe vers ton entrée qu'il taquine uniquement de son gland pour te taquiner un instant. Il aimait tellement jouer avec ton impatience. Puis finalement, il te pénètre de tout son long, attendant juste un instant avant de commencer une série de vas et viens relativement puissants et rapides. Ta punition. Une partie de jambe en l'air dont tu te souviendras. L'une de ses mains venaient d'attraper tes cheveux pour te forcer à relever la tête tandis qu'il allait et venait en toi à un rythme soutenu qui le faisait grogner d'envie à de nombreuses reprises. Cette position l'excitait tellement, et te voir ainsi, le dos cambré, le corps totalement offert à lui.. C'était trop pour lui. Trop bon, trop de plaisir d'un coup. -